B comme…
B comme Biroute…
B comme Bistouquette…
B comme Braquemart…
B comme Branlette…
B comme Bérézina…
B comme… Benjamin !…
Mais quel bordel, avec tous ces branleurs qui méritent plus qu’une branlée !
Pouvoir
B comme Biroute…
B comme Bistouquette…
B comme Braquemart…
B comme Branlette…
B comme Bérézina…
B comme… Benjamin !…
Mais quel bordel, avec tous ces branleurs qui méritent plus qu’une branlée !
1988-1993, j’avais 26-31 ans…
À cette époque, je travaillais dans un Conseil général, l’instance départementale issue de la « Décentralisation ».
J’étais dans le bâtiment appelé « Le Château », avec, au premier, l’étage dit « De la Présidence ».
Il y avait 53 élus/conseillers généraux… Dont un « Président » et plusieurs « Vice-présidents » — notez qu’il y a le mot « vice ». Quasiment aucune femme, et une moyenne d’âge plutôt élevée.
Conseillers généraux — donc à la tête d’un « canton » —, certes, mais aussi maires, députés, sénateurs… L’un d’eux est même devenu ministre.
Réfugié dans ma tour d’ivoire — l’informatique —, j’étais juste au-dessus, à la « Direction générale », et je faisais tout pour les éviter, ces « élus ».
J’observais des magouilles, de loin, et je jaugeais leurs travers, petits et gros, n’arrivant que rarement à déceler des qualités et des comportements vertueux.
C’est à cette époque que j’ai commis “Projections”, quatre-vingts nouvelles, avec mon style encore plus particulier de l’époque, dont deux que je me permets de reprendre ici :
37e jour de grève…
Et une parodie de « négociation » à Matignon avec la CFDT et l’UNSA…
Des « représentants » ou « partenaires “sociaux” » francs comme des ânes qui reculent face à des tordus, des retors, des vicieux, des enfumeurs.
« Âge pivot », « Âge d’équilibre », une arnaque parmi tant d’autres dans cette mascarade de « réforme » des retraites.
Lire la suite »Le pourrissement, une méthode de… pourris !
Elle est française.
Et même bien gauloise.
Elle pèse trente grammes.
Soit un peu plus qu’un cerveau de député macronien.
Je l’ai trouvé touchante, au milieu des autres.
Avec son air un peu « première de cordée ».
Elle fait partie du patrimoine français, comme dirait Stéphane Berne.
Elle semble naturelle, et même « Bio », au grand dam de Nicolas Hulot.
Donc, je l’ai achetée, en l’extirpant de son cageot.
Lire la suite »Reine-claude pour potage gouvernemental
Tout est dans le titre.
C’est ce que m’inspire cette bande de « en marche », genre « ON a gagné ».
Genre « ON vous emmerde » et « ON sait tout ».
Bien sûr, le « premier de cordée » est en tête, avec son air dédaigneux et cynique.
« Monsieur, vous insultez ! »
Mais où est l’insulte ?
Dans des mots crus ou dans des doigts/bras d’honneur ?
Rien de pire qu’un ton mielleux et un air poupin pour proférer des horreurs.
Lire la suite »Petits merdeux-morveux et têtes à claques
Ils se plaignent, ils osent se plaindre !
Nos « députés », dits « représentants de la nation », de la « chambre basse ».
Ils seraient saturés, surbookés, limite en burnout.
Ils n’en pourraient plus de suivre un tel rythme.
Un rythme de quoi, à l’heure des ordonnances à tout va ?
Avec un hémicycle toujours aussi vide.
Et du « sang neuf » bien perfusé et transgénique.
Alors que les lobbies n’ont jamais été autant au pouvoir, leur machant le travail de trahison à la chaine.
Lire la suite »Députés chochottes
J’étais impatient, et il est arrivé !
Vu sur Le Bon Coin, parmi d’autres.
Mais là, le vendeur m’inspirait confiance.
D’autant que cette acquisition est très particulière.
Sans entrer dans la technique, j’évolue question photographie.
Et je cherchais un zoom-téléobjectif, si possible « lumineux ».
Avec le souhait d’avoir une ouverture « constante », et non « glissante ».
En neuf, c’est simple, le modèle de référence (un “G”) de “ma” marque (de boîtier) est à… 3 000 euros !
Et chez les fabricants tiers/alternatifs (Tamron/Sigma), on peut diviser par 2 ou 3.
Mais, même à 1 000 euros, je trouve le coût exorbitant.
Lire la suite »Beercan, une bien belle canette comme objectif
La photo de cet arbre me conviendra en guise de sapin de Noël.
Il est très bien là où il est, à résister aux tempêtes et à contrer un terrain pentu.
Pas de guirlandes ni de boules, mais un curieux bloc à son pied.
Un calendrier, avec toutes les dates, mais le jour correspondant à entourer.
Comme une liasse d’ordonnances pour équilibre et santé.
Sur chacune d’elles, une citation, une pensée, voire une vérité.
Il manquait quelques pages, mais j’ai pu en feuilleter trois cent quarante.
En cette période de Noël, je les ai lues et relues, comme des cadeaux.
Et j’ai choisi ce qui me convenait le mieux, celles que j’aurais aimé faire miennes.
Je vous livre donc ma sélection, il y en a trente-neuf.
Plus une pour arrondir — avec un peu de triche — à quarante.
En espérant que vous en ferez bon usage, car c’est précieux, et à méditer.
Hier, alors que la France fondait en larmes à l’annonce du décès de Johnny Hallyday, mort à Marnes-la-Coquette plutôt qu’à Los Angeles où il résidait normalement.
Dans un bureau états-unien, un chevelu roux — coiffe naturelle ou synthétique, je ne sais —, assis au milieu des sapins de Noël clignotants, signait un document devant les caméras.
Acte qui pourrait être anodin, mais il s’agit en fait de déplacer l’ambassade américaine d’Israël de Tel-Aviv à Jérusalem, et par la même occasion de reconnaître, de fait — acte unilatéral digne d’un dé-faiseur de pays —, cette ville particulière comme capitale, dans un contexte dangereux et cruellement fragile et cynique de « partage » avec la Palestine.
Acte à l’emporte-pièce, probablement d’un dingue.
Pour moi, une randonnée doit être synonyme de lâcher-prise.
Là, ça a bien été le cas.
Sauf en regardant ma moisson de photos du jour.
J’ai cherché un sens à cela.
Et, en cette période de plus en plus trouble…
J’ai de suite pensé à l’Europe !
Tout d’abord un camion, sur un pont probablement “cofinancé” par l’Europe.
Pour permettre de mieux délocaliser, et de fabriquer ailleurs à moindres coûts.
Ensuite, il faut bien transporter et polluer…
Mais dans un camion “Astre”, « La souplesse des PME, la puissance d’un grand », c’est mieux !
Avec un drapeau/logo européen revisité au massicot, mais conservant ses 12 étoiles.
En pleine nature, voilà une belle illustration de notre société…