Photos
Avec des photographies, toujours originales
Le geai, vrai lanceur d’alerte
Oh, que je suis content !
Depuis le temps qu’il me narguait.
Combien de fois l’ai-je entendu ?
Mais hélas jamais vu.
En forêt, son cri reconnaissable.
Me grillait régulièrement.
Mettant aux abois ce qui ne l’était pas.
Réduisant à néant mes espoirs photographiques.
Comme seule preuve, j’avais une plume.
Que je conserve soigneusement.
Comme un trophée, une vengeance.
Ou pour mettre en valeur des champignons.
Sous les ors de Cayenne
J’en vois plutôt souvent.
D’habitude de couleur plus discrète.
De cette bagnole qui évoque les casseurs de pierres.
Signe des temps, les bagnards peuvent être emblème.
Pour rouler dans un engin improbable pour bobos friqués.
Exhibitionnistes probablement en quête de reconnaissance indue.
En attendant, ça pompe de l’essence, et ça pollue.
Ça pompe de l’argent en France pour en envoyer chez les Allemands.
Ce qui n’empêche pas la Deutsche Bank d’être en situation de faillite totale.
Canal anxiété terroriste
Quelle erreur !
Quelle horreur !
J’ai voulu m’informer…
Cinq minutes de BFMTV.
Plus une dose d’iTélé.
Des terroristes partout !
La menace rode, où que l’on soit.
Chacun peut être victime.
Et chacun peut être terroriste.
On nous dessine une société impossible.
L’autre est l’ennemi, forcément.
Vivre sereinement ne doit pas être la règle.
Signalétiques, bonnes et mauvaises ondes en bord de Vilaine
Sortie, alors que les météos s’y opposaient encore.
Temps splendide qui se moque des annonces anxiogènes.
Par contre, sur le parcours, il y avait de tout.
De bonnes ondes, comme des mauvaises.
Autant s’arrêter sur les bonnes, non ?
Sur plus de cinq cents photos en une vingtaine de kilomètres…
Sans même chercher la signalétique, mais seulement ce qui m’interpellait.
Voici quelques images, à considérer comme positives ou négatives.
Même si elles peuvent être neutres avec un peu de lâcheté.
Et je me pose une question : Pourquoi avoir pris ces photos ?
Une chose est certaine, j’en ai fait des légendes !
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Boule de mousse
Je vais vous parler des Bryophytes.
De la mousse végétale, bien verte.
De celle que l’on trouve en forêt.
Essentielle pour la nature.
Pour purifier l’air.
Pour stocker et restituer l’eau.
Un monde fascinant, la Bryologie.
Des coussinets qui abritent toute une faune.
De la beauté en miniature.
Touchez, regardez, admirez.
Mais laissez en place, c’est précieux.
C’est même vital, surtout pour la forêt.
Tableau de chasse breton, forestier et matinal
Je sais, je ne suis pas gentil.
Il y a eu un « accident » de chasse hier.
Dans une forêt d’Ille-et-Vilaine (35), celle du Pertre.
Trois rabatteurs blessés grièvement.
Un chien mort.
Par un sanglier blessé.
Qui a ensuite été mis « hors d’état de nuire »…
Eh ben je me marre, bien fait !
Vive la révolution des sangliers !
Moi, ce matin, j’étais dans une autre forêt.
Toujours en Ille-et-Vilaine.
Attentif, j’observe, je photographie.
Je recherche le lâcher-prise, la quiétude.
Et au loin, des coups de feu, encore et encore.
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Le rouge-gorge de Bréhat s’en va
Il aurait dû partir depuis quelques jours.
Mais ça y est, il s’en va d’ici.
Cet oiseau qui vous a souhaité la bonne année.
Avec son discours positif.
Son chant enchanteur.
Son plumage admirable.
Mais je voulais lui rendre un dernier hommage.
Avant de l’enlever en quelques clics.
De la sidebar* de ce blog grinçant.
Balade en forêt, mode politique et État d’urgence
Belle balade matinale.
En ce dimanche matin.
Le dernier de janvier.
Si j’avais écouté la météo.
De BFMTV, ou d’iTélé.
Elle n’aurait pas eu lieu.
Mais il faut braver leur pessimisme.
À mettre du vent, de la pluie partout.
Pour nous pourrir nos journées, notre vie.
Départ 9h30, pour environ 10 km.
En bonne compagnie tant qu’à faire.
Et avec mon fidèle appareil photo.
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Je suis Fréhel, et je garde le Cap
Aujourd’hui, « hommage » à « Charlie ».
Des commémorations, toujours et encore.
Comme si passer à autre chose était impossible.
Comme si les vivants ne devaient penser qu’à la mort.
Oh, ça n’est pas fait pour rien !
Non, c’est pour faire planer un danger, permanent.
Pour faire croire que des incapables sont capables.
Pour dire qu’ils nous protègent, maintenant…
Quitte à mentir effrontément.
Faire passer une « fatwa » pour un « attentat ».
Pour liquider nos libertés, en douce.
Et même à coup d’ordonnances, tant qu’à faire.