Il nous fait quoi, encore, celui-là ?
Silence radio, ou bien « ghosting », sur le blog ?
Il dort ? Il est vexé ? Il boude ? Il est fatigué ? Il est mort ?
2024, c’est fini, et il y a eu les « vœux » pour 2025.
Nous ne sommes que le 25 janvier, et c’est un feu d’artifice.
Cette histoire de « vœux », c’est de la foutaise.
Un alibi pour recommencer, encore et encore.
Dans les déviances, la méchanceté, la trahison.
Un peu comme cette personne qui allait se confesser tous les dimanches.
Pour « recommencer », toute une semaine, en roue libre…
Histoire d’alimenter la prochaine confession.
Et d’avoir l’impression d’exister.
Dans le bien, alors qu’elle faisait le mal.
Cette personne, c’était… ma mère !
Alors je sais de quoi je parle quand je rencontre à nouveau ces comportements.
Ces personnes égocentrées, égoïstes, malsaines, toxiques, nuisibles.
Et, quoi que l’on fasse, il est presque devenu impossible de les éviter.
Mercredi, en consultation de Néphrologie, j’avais 19/10 de tension.
Aux dernières analyses, j’ai une Protéine C réactive (CRP) à 56.
Inflammation ou infection, on ne sait pas encore.
Mon hémoglobine est descendue à 9,8, mon plus bas historique.
Donc, anémie ++, et manque d’oxygénation de l’organisme.
Gênant pour les randonnées.
Surtout lorsque l’on a la délicatesse de souligner que je suis blême.
Comme si je ne le savais pas, et comme si une telle remarque était utile et pertinente.
Remonté comme un coucou.
La sensation d’être une batterie de voiture électrique en plein emballement.
Je ne dors quasiment plus.
Je bouffe du Xanax (alprazolam) comme si c’était des Mentos.
J’essaye de me détendre en randonnant en pleine Nature.
Et en y « invitant » des gens, pour « partager » un bon moment.
Mais on me pourrit mes randos.
Heureusement pas toutes, mais la toxicité ne fait fait pas long feu, c’est persistant.
Je me dis qu’il faut écrire pour me soulager.
Mais ce serait trop violent, et je dois me retenir.
De toutes les manières, la stérilité est de rigueur, le syndrome de la page blanche.
Ambiance générale, et ambiance particulière.
Le nivellement par le bas, la bêtise, la méchanceté gratuite, la perversion, la trahison, la prédation.
Le pire, c’est qu’à un certain stade de sa vie, on aspire plus que jamais à la paix, à la sérénité, au respect.
Mais c’est peine perdue, on vient vous polluer, vous pourrir, aspirer le peu d’énergie qu’il vous reste.
Une pièce d’un euro dans l’écuelle de ce mendiant/SDF ?
On se baisse pour la lui prendre en lui disant « C’est pour ton bien ! ».
Alors je préfère garder le silence, pour ne pas entrer dans une colère noire.
Mais je prends sur moi, et c’est moi qui morfle.
Et, malgré cela, les ondes toxiques ne se dispersent pas.
Même en essayant de changer d’air, le nuage est là.
Avec des mines innocentes et bienveillantes.
Alors que c’est tout le contraire !
Visuel : « Mais putain, réveillez-le ce petit con ! »
© PF/Grinçant.com (2025)
Billet ultérieur directement en rapport : La trahison, c’est inoubliable, surtout en photo (26/01/2025)
Il n’y a pas de bienveillance chez certaines personnes., hélas. Je comprends mieux le lien avec votre article sur la photographie… Après la matinée que vous avez vécue, la randonnée aurait dû vous être bénéfique afin de vous aider à encaisser ces mauvaises analyses. Écrire est un moyen d’évacuer toutes ces mauvaises ondes, faute de mieux. J’espère que cela vous aura aidé à faire retomber la « pression »…
L’aspect « mauvaises analyses » (médicales/biologiques) est annexe (quoique, en l’espèce, c’est de la fatigue et un manque d’oxygénation, les chiffres confirmant ma réalité), mais je dois vivre avec, et l’on me sabote même des moments que j’organise avec bienveillance et une volonté affichée de lâcher prise tout en me tapant 10 km en « souffrant » plus que les autres (et en essayant de ne pas le montrer).
Le pire, c’est que je ne demande aucune compassion, mais, à minima, au moins un peu d’humanité/de respect (en plus, « l’amie » est plus jeune que moi).
Oui, l’écriture est libératrice, et je conseille ce moyen.
Le pire, c’est que j’ai presque des scrupules à étaler ça pour les personnes concernées alors qu’elles vivent très bien les choses de leur côté, et en sont même probablement contentes/fières (un scorpion pique, une sangsue/tique suce). Pour tout vous dire, je sentais depuis le début une défiance et un comportement de la part du bonhomme qui pensait à voix haute « pauvre type ! ». Mon « amie de 7 ans » a terminé — après ce que je considère comme un gros incident (et même un enchaînement inéluctable) — la rando trente mètres derrière, en discutant à voix basse avec lui. Ambiance !
À sa manière, et après réflexion, ma chute du 27/12/2024 est aussi liée à tout cela du fait d’une « tension montante ». On m’avait dit que j’étais blême (l’anémie), et que j’avais le pas moins assuré, comme si je ne le savais pas et qu’il était intelligent de me le dire, qui plus est devant du monde pas au courant de ma situation.