AVERTISSEMENT : Ce billet date de plus d'un an.
Arrêté au centimètre près.
C’était là et pas ailleurs.
À contre-jour, soleil en face.
Un peu de « flare », mais juste ce qu’il faut.
Un ciel magnifique.
Avec des chemtrails.
Et cet arbre, tel un champignon.
Dominant les fougères.
Dont les feuilles jouent de la transparence.
C’était hier, en plein mois d’octobre, 15h54.
Une scène complexe qui me rend simple, humble.
Et qui me fait dire que j’ai finalement de la chance.
De voir, de savoir vivre et apprécier ces moments.
Et je vous en prie, si vous le pouvez, faites de même !
(Cette photo a gagné sa présence dans la galerie des Goodies/Fonds d’écran)
© PF/Grinçant.com (2018)
Les couleurs chaudes de l’automne n’ont pas encore effacé totalement les couleurs froides de l’été, et l’hiver n’ayant pas encore dépouillé la flore de ses feuilles, la nature est belle à travers cette photo qui est maintenant en fond d’écran de mon PC… ☺ ☺ Merci sieur PF.
« Oui dans ces jours d’automne où la nature expire
À ses regards voilés, je trouve plus d’attraits. »
Lamartine (1790-1869, Alphonse De), Méditations poétiques, I, 29.
Elle est en petit format (1200×800).
Dans la journée, je vais la publier dans des formats plus adaptés à cet usage.
Je vous fais signe quand c’est prêt. ¬)
Fait, vous la trouverez en téléchargement en trois formats dans ma section Goodies/Fonds d’écran…
(Et nota/renvoi ajouté sous la photo.)
Sachez que sa publication le 13/10 — le lendemain de la scène — a une histoire/un sens spécifique pour moi, j’en parlerai peut-être un jour.
Belle photo, sinon on dit contrails pas chemtrails, sauf si on est complotiste ;-)
Je l’ai fait exprès pour les « chemtrails »… (Et j’attendais d’ailleurs une réaction.)
De toutes les manières, tous ces avions dans tous les sens, ça n’est pas anodin côté « pollution ».
Après, le « complotisme », nous pouvons en discuter longuement. :¬)
Une réaction ? Oui !
En premier lieu, comme toujours, photo remarquable, le contraste des couleurs d’automne et une invitation à décoller vers un ciel bien bleu et annonciateur de dépression. Remarquez les nuages d’altitude, les cirrocumulus, les anciens disaient « ciel pommelé est comme femme fardée, il ne faut pas s’y fier ». Bon, c’est assez misogyne comme la plupart des expressions, mais c’est bien imagé.
Concernant les traînées (pire que les fardées ;-) ), il ne faut pas confondre les contrails qui sont des traînées dues à la condensation des particules d’eau en sortie de tuyères de réacteurs et les chemtrails d’origine chimique. La patrouille de France les utilise en basse altitude à des fins esthétiques.
Par contre, la multiplication de ces traces disgracieuses et souvent rémanentes m’inspirent d’autant moins que j’ai vécu quelques années à exploiter ces tranches d’altitudes sans observer ces excès.
Un lien utile https://www.greenpeace.fr/quelle-est-la-position-de-greenpeace-sur-les-chemtrails/
Une amie — qui habite dans un immeuble de bonne hauteur — m’a récemment transmis cette photo prise le 04/10/2018 à 7h04 du matin :
Et ces « traces » sont effectivement très « rémanentes », et je me fais souvent la réflexion en observant le ciel lors de mes sorties.
Je ne sais pas pourquoi, mais cette photo (celle de la Brève) me parle particulièrement, alors même que cet endroit n’a — normalement — rien de particulier.
Comme dit précédemment, j’ai décidé de la publier après avoir vécu une situation particulière…
Ce que je constate depuis plusieurs années, c’est que ces traces dues aux passages d’avions, le sont sur des couloirs et des altitudes qui ne sont pas ceux des lignes commerciales, forment selon les moments des lignes parallèles, voire des damiers, et que quelques minutes après les nuages se modifient, voire le ciel est totalement voilé.
S’agissant des couloirs aériens, étant à 15 km d’un aéroport d’affaires, et à une vingtaine d’une base aérienne militaire, les couloirs civils et les altitudes sont très différents, d’autant que pour les phases de décollage/atterrissage les avions ne peuvent pas dévier, car si problème météo, ils sont déroutés sur d’autres aéroports.
Il y a 2 jours, après ces passages en fin d’après-midi, le ciel ressemblait à une photo de tempête de sable.
Les traînées de condensations (contrails) se produisent naturellement à haute altitude. Cette couche où se produit le phénomène est variable dans l’atmosphère en fonction de ses caractéristiques du moment (pression, température, humidité). Les trajectoires des avions de ligne passent la plupart du temps dans cette couche, pas les trajectoires dîtes d’approche ou de départ situées bien en dessous, en descente ou en montée et pas aux mêmes régimes réacteurs.
Les couloirs aériens sont déterminés par rapport à des points précis (radiobalises), ça ne représente pas toujours le plus court chemin, certains peuvent demander à couper avec l’accord du contrôle aérien. Cela explique les quadrillages observés.
De plus, les vents à cette altitude sont en général puissants, une traînée rémanente se déplace, s’étale, etc.
Au résultat, un ciel pollué que je déplore aussi.
Un détail, à part pour les interceptions ou manœuvres d’urgence, tous les utilisateurs de l’espace aérien contrôlé, civils ou militaires utilisent les mêmes trajectoires, sinon c’est la cata.
Je suis d’accord sur l’essentiel de votre commentaire @Universel. Cependant, lorsque le quadrillage ressemble à un parfait damier, je suis navrée de pouvoir dire qu’il ne s’agit en aucun cas des traces laissées par des avions de ligne, mais d’avions chargés de disperser des produits.
On sait bien que la géoingenierie permet d’avoir un ciel bleu à la demande, d’éviter des orages de grêle, ou de faire tomber la pluie, ce n’est ni un secret, ni un complot, mais la réalité, avec les connaissances actuelles.
Je suis également consciente qu’avec le nombre d’avions qui volent quotidiennement par rapport aux 30 années précédentes, bien que les réacteurs soient plus performants, le ciel est nécessairement plus pollué, et qu’il peut y avoir des effets visuels à cela.
J’ai aussi remarqué qu’avec le soleil qui apparaît de plus en plus blanc, notamment depuis 2015, que des avions volant à 2 ou 3 côte à côte dispersent des chemtrails et qu’après cela le ciel se voile, et le soleil est caché. J’ai pu voir cela tous les jours de l’été 2018 dans ma région.
@Crocus7 je ne sais pas démontrer ou infirmer le largage de produits à haute altitude.
Je peux néanmoins expliquer le quadrillage, un avion passe, il traîne, si sa trace est rémanente elle se déplace avec le vent en altitude, un autre avion passe dans le couloir et dépose sa trace, etc. La même chose avec un couloir qui croise le 1er et on a notre quadrillage.
Quand je parlais de pollution, je pensais en 1er lieu à la pollution visuelle. Les oiseaux embellissent le ciel, pas notre activité humaine.
Pour ce que je connais de la guerre chimique et de l’épandage en particulier, il se pratique à très basse altitude pour que la saloperie larguée ne se dégrade pas. Là, à plus de 9.000 m, je ne suis pas chimiste ou biologiste, je ne vois pas quoi. Maintenant le cerveau humain est assez taré pour concevoir le pire…
Ce que j’ai néanmoins du mal à imaginer c’est que des réserves de produits soit intégrées dans les soutes sans que ça se voit dans les ateliers, sans que les pompiers spécialisés censés intervenir ne connaissent pas, sans compter la masse embarquée non négligeable pour épandre aussi longtemps et que le commandant de bord l’ignore.
Si c’est le cas, ce serait des avions spécialisés, et là, il y en a vraiment beaucoup.
Vrai, faux, science-fiction, réalité des faits cachés ? Est-ce que cette prose tient la route ? Venant du site de Jean-Pierre Petit, on sait au minimum qu’il s’est intéressé à ces chemtrails pour en découvrir l’origine… Mais c’est une piste à vérifier avec les mécaniciens, s’ils veulent parler…
Chemtrails, le témoignage d’une mécanicien américain anonyme (jp-petit.org — 22/08/2008)
Puis une enquête émanant d’une autre source toujours vue par M. Jean-Pierre Petit qui aurait laissé des commentaires…
Enquête sur les Chemtrails (Document jp-petit.org via viewer Google)
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