– Bonjour Madame, une boîte d’Ibuprofène 400, s’il vous plaît, avec le plus de comprimés possible à l’intérieur.
Elle revient avec une boîte en contenant 10…
– Vous n’avez pas en plus grand ? Les laboratoires Sandoz, par exemple, font des boîtes de 15.
– Ah mais, Monsieur, on ne choisit pas les laboratoires !
Je la laisse en plan avec sa boîte en lui expliquant que c’est une astuce pour me vendre plus de boîtes (50 % en plus) pour me facturer des honoraires de dispensation indus puisque je viens pour de l’automédication — sans ordonnance — en vente « comptoir/directe ».
Dans une autre pharmacie, on m’en délivre une boite de 12, c’est toujours (un peu) mieux.
Puis je demande du Codoliprane, sachant que l’on a annoncé que les médicaments « codéinés » ne seraient bientôt plus délivrés que sur prescription médicale.
– Vous pouvez encore m’en vendre une directement ?
– Ah ! Je ne sais pas, nous sommes les derniers informés, parfois même après les clients.
– Je ne pense pas que cette « décision » soit officialisée…
– On va voir, si l’ordinateur accepte, c’est bon…
Oui, l’ordinateur a « accepté » !
Mais qui sont ces pharmaciens qui ont un pouvoir fou sur la vie des clients/patients, mais qui ne maîtrisent visiblement plus rien dans leurs officines ?
© PF/Grinçant.com (2017)
« Mais qui sont ces pharmaciens qui ont un pouvoir fou sur la vie des clients/patients, mais qui ne maîtrisent visiblement plus rien dans leurs officines ? »
Je vais être très bref : des épiciers tout simplement !
Pire que des épiciers, qui — eux — ne sont normalement pas soumis à une « déontologie »…
Je complète* dans le même registre avec mon aventure de ce matin :
– Filouterie de pharmaciens et de labos
*La présente Brève concernait mes « achats » de samedi 15/07/2017.
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