Hier, sur France 5 — service “public” —, Bruce Toussaint titrait C dans l’Air « Crise des migrants : de pire en pire » et commençait ainsi…
« Bonsoir à tous, bienvenue dans C dans l’Air.
La crise des migrants ne fait plus la Une des magazines, elle n’a quasiment pas été abordée pendant la campagne présidentielle, et pourtant la situation est toujours aussi critique, on peut même dire qu’elle s’aggrave.
Depuis le premier janvier, 100 000 personnes ont traversé la Méditerranée. À ce train-là, 2017 sera probablement une année record en nombre de clandestins arrivant sur le sol européen.
Un autre chiffre — dramatique — montre l’ampleur de cette crise : 2 300 personnes ont perdu la vie en mer depuis le début de l’année. 35, rien qu’aujourd’hui, au large de la Libye.
À Paris, hier, des campements ont été évacués dans le secteur de La Chapelle, des migrants qui vivaient dans des conditions dé-plo-rables, et qui ont été logés dans des centres d’accueil et des gymnases. Au total, plus de 2 700 réfugiés ont été déplacés à l’occasion de cette évacuation. C’est beaucoup plus que ce qu’imaginaient les autorités parisiennes ! »
Pendant que l’émission concurrente sur LCI avait pour objet « Macron : En fait-il trop ? »…
Plus personne n’en parle ?…
- Pourquoi ?
- Et c’est la faute à qui ?
- Qui décide ?
- Qui est censé informer ?
- Qui fait les choix « éditoriaux » ?
- Qui gère les « priorités » ?
- Qui opte pour la brosse à reluire ?
- Et notre “Dieu” jupitérien, il n’y peut rien ?
N’oublions pas que nous sommes tous des migrants potentiels, et que cela se confirme de jour en jour.
© PF/Grinçant.com (2017)
+ France 5 pour l’extrait de citation de C dans l’Air du 08/07/2017
Une rafale de septembre 2016 :
Lu !
Mais je ne veux pas ouvrir la valse des commentaires.
La valse ?
Vous pourrez noter que les commentaires ne se bousculent plus beaucoup.
J’en cherche la cause, mais elles sont multiples.
Je vais donc répondre à ma façon aux questions posées dans la brève.
1: Le président veut qu’on parle de lui.
2: La faute aux journalistes sans couil… et aux ordres.
3: Les décisions sont prises par jupiter.
4: La cellule propagande de l’Élysée ou de LREM à la botte du dictateur, comme en RPC ou Corée du Nord, ces démocrassies exemplaires.
5: Les choix éditoriaux sont faits par les détenteurs milliardaires de ces merdias, amis de jupiter.
6: La gestion des priorités est soumise au vouloir de jupiter. Faire plaisir à ses amis, saigner les retraités sans défense, et précariser au maximum les salariés producteurs de richesses. L’esclavage quoi.
7: La brosse à reluire ? Ceux qui optent pour sont ceux qui ont peur de se prendre la balayette dans le cul.
8: Quant à jupiter, il est au-dessus de tout ça. Il veut juste que ça mousse pour lui, son image doit être planétaire, à la taille de son ego et du creux de ses discours. Le reste est trop minable pour que ça l’intéresse.
À votre façon pourrait être à ma façon, ou l’inverse…
Je note vos dérives orthographiques/sémantiques avec démocrassies et merdias, ainsi que la minuscule de tête réitérée à jupiter.
Merci pour ce pas de deux ;-)
Quand la mayonnaise Macron va-t-elle retomber ?
J’ai bien peur qu’elle ne soit à entretenue à coup de fouets.
Le flux des migrants est une machination bien orchestrée, par qui ? Facile d’avoir des pistes (Soros, Mi6, etc.)
Facile aussi de surveiller le chargement et le départ de ces bateaux qui ne partent pas du pôle sud ou du Pacifique. De plus, il ne s’agit pas de migrants politiques, mais économiques pour la plupart.
Curieusement, une ile qui ne fait presque plus partie de la farce européenne provoque un blocus à 40 km de ses côtes.
Quel intérêt ? Là, aussi, les pistes sont faciles à trouver…
Il reste que ce sont des humains qui servent ces manipulations dans l’indifférence, organisée aussi sans doute, générale. Après tout, c’est un milliardaire qui finance ça, et d’autres qui verrouillent les médias, ou notre Vème, donc pas surprenant, mais pitoyable quand même.
C’est d’un cynisme absolu.
Les commentaires sont fermés.