Le site Rue89.com continue de mourir.
Une lente agonie, pleine de cadavres, avec des trahisons, des proxénètes, et de la chaux pas très vive sur le hachis pour épauler le travail « mécanique » afin d’en finir discrètement.
Créé en 2007, le principe était de donner la parole à « La Rue »…
Ses « créateurs » l’ont « vendu » en décembre 2011 contre 7,5 millions d’euros à Claude Perdriel, spécialiste du sanibroyeur® (SFA), pour l’intégrer au site du Nouvel Observateur, sa propriété.
Depuis, la mécanique infernale continue son œuvre, discrètement, habilement et silencieusement.
J’étais encore abonné au flux RSS de Rue89, mais depuis le 18 janvier 2017, le flux est vide. Le dernier article qui y figure étant cyniquement titré « La lecture numérique de la presse dépasse celle sur papier ».
Je vais donc virer ce flux zombie de mes abonnements…
Et ici, dans les commentaires, il y avait quelques liens vers des articles de cette « rue ». Mais depuis quelques jours ils subissent un nouveau « traitement », car ils me sont retournés comme invalides.
Justement, on m’en signale un à l’instant…
Rue89, qui était déjà passé de l’état de « domaine » Internet (rue89.com) à celui de « sous-domaine » (rue89.nouvelobs.com), passe maintenant à l’état de simple « dossier » (tempsreel.nouvelobs.com/rue89/), comme dans ce lien :
rue89.nouvelobs.com/2014/05/17/bringbackourgirls-rassemblement-soutien-jai-eu-honte-252230
qui devient :
tempsreel.nouvelobs.com/rue89/rue89-temoignage/20140517.RUE3889/bringbackourgirls-au-rassemblement-de-soutien-j-ai-eu-honte.html
D’un côté, le broyeur continue son travail…
Et moi, je dois (encore) faire de la thanatopraxie de liens numériques externes !
© PF/Grinçant.com (2017)