J’ai un peu raté la magie du lieu.
Je ne faisais qu’y passer.
Pour marcher, profiter de la nature.
Et puis, comme une impulsion.
Je me suis arrêté, un bref instant.
Un arbre plein de mousse à ma gauche.
Ça n’était pas pour contempler.
Non, c’était pour photographier.
Juste une fois, à cet endroit.
Comme une atmosphère indéfinissable.
Un ruisseau, et un petit pont.
Juste en face, sur l’autre rive, un banc en bois.
Et surtout, une ambiance.
Et surtout, une lumière.
Et surtout, un peu de magie.
Différentes essences d’arbres.
Le chant des oiseaux.
Le bruissement des feuilles.
Un bref instant, comme ça.
Juste le temps de cadrer.
Juste le temps de déclencher.
Avant d’aller plus loin.
De franchir cette passerelle.
Et de continuer, pas après pas.
Un moment volé.
Un moment immortalisé.
Un moment non perçu à sa juste valeur.
Puis, en voiture, comme de la sérénité.
Encore un peu de grand air dans les poumons.
Et de belles couleurs dans la tête.
Jusqu’au retour, en ville.
Avec les bouchons, les contraintes.
Avec la pollution, tant atmosphérique que visuelle.
Et le moment de vider la carte SD.
De récupérer les clichés.
Pas si nombreux cette fois-ci.
Mais il y a de belles images.
De quoi rêver ou repenser à cette balade.
De quoi illustrer un blog aussi.
Mais, dans la série, il y en a une qui m’a interpellé.
Comme fixée dans ma tête.
Comme ancrée dans le cœur.
Curieuse ambiance.
Belle ambiance.
Magie de ces lieux.
C’était dans la forêt de Fougères.
Un petit coin au milieu de 1 673 hectares.
Un petit bout de forêt de Bretagne, en bordure de Normandie.
Perception consciente ou inconsciente ?
Et finalement, si je n’avais pas raté la vraie magie de ce lieu ?
Et si cette méthode était la meilleure pour ensuite mieux rêver ?
Ce petit coin de paradis en 1600×1200 / en 1920×1080
Vignette : « Les arbres aussi peuvent être torturés » © PF/Grinçant.com (2015)
© PF/Grinçant.com (2015)
Édit 04/01/2016 : Mise à jour des photographies, suite à modification des liens internes et des données EXIF.
Billets en rapport :
Ah oui… Ces instants magiques, cela me parle beaucoup.
Ces parenthèses enchantées qui nous rassurent en nous rappelant combien la nature peut être belle… et que la vie est en elle.
J’aime aussi beaucoup « me laver la tête et les yeux » devant le spectacle de la nature. L’admirer et m’y fondre en silence pour oublier le reste qui paraît si dérisoire alors.
Mon dernier moment d’extase, c’était il y a environ 1 mois : à Sainte-Agnès, dans les Alpes Maritimes. Un « village perché » comme il y en a tant ici… Village médiéval à flanc de montagne inconnu des touristes. J’ai voulu tout voir, tout visiter… Jusqu’aux ruines de son château (qui se mérite car le chemin est raide) et puis là-haut… Juste ces ruines et la montagne. Le silence qui impose le respect. J’aurais pu y rester des heures. D’ailleurs, j’aurais adoré y trouvé un refuge pour y passer la nuit. En surplomb de la ville de Menton dont on devine l’agitation et la rumeur, je me sentais locataire privilégiée d’un site majestueux. De ceux qui nous reconnectent avec ce qu’il y a de vrai dans ce monde.
Je vous comprends, Grinçant.
Ce qu’il y a aussi avec ces sites, c’est que l’on hésite presque à les partager, à les faire connaître.
Quand je vois des détritus en pleine forêt, même en dehors des sentiers, ça me met en colère, et pourtant vous savez qu’il m’en faut beaucoup pour y arriver ;-)
Face aux turpitudes que nous vivons pour la plupart, ces moments sont vraiment nécessaires, mais encore faut-il être capable de les apprécier.
En plus, on peut les faire durer, comme dans l’exemple de ce billet…
Cette photo étant devenue mon nouveau fond d’écran.
Je partage votre colère.
Etant une grande adoratrice de la montagne en particulier (25 années de Chamonix, ascension du Mont-Blanc le 14 août 2001…), jamais, je dis bien jamais, je n’ai jeté le moindre papier ou autre sur mon chemin. J’ai toujours redescendu ma poubelle dans mon sac à dos. Je ne me revendique pas écolo, je pense l’être naturellement, silencieusement.
Je suis également très choquée de constater les traces laissées par mes congénères dans des lieux aussi beaux. Aujourd’hui que je vis à Nice depuis 6 mois, ce n’est guère mieux. En novembre dernier, nous avons eu droit à « un coup de mer » qui a ravagé la Baie des Anges. Le lendemain, j’ai découvert un spectacle hallucinant sur la plage : oh bien sûr, il y avait un peu de bois flotté, en plus des structures métalliques des restaurants de plages entièrement détruits mais il y avait surtout… des milliers de bouteilles de soda en plastique ! Mon compagnon, qui est Niçois pure souche, ne se baignerait pour rien au monde à Nice et franchement, je n’en n’ai pas la moindre envie non plus. Les Niçois, dans leur grande majorité ne s’y baignent pas du reste. Tous ont leurs petits secrets pour aller vers des eaux plus propres, dans de petites criques cachées. Je ne parle pas des trottoirs de la ville… Moi, qui adore me balader le nez en l’air et prendre des photos… Là, c’est très risqué… Je suis au regret de dire que Nice est une ville absolument magnifique mais d’une saleté repoussante.
En parlant de la montagne et de ses sommets, ça me permet de faire une petite incursion du côté de l’Everest…
Le massif a en effet été touché par le tremblement de terre récent au Népal.
Et l’on apprend que des milliers de personnes auraient été plus ou moins coincées dans ce massif…
Quand l’on sait que ce sont les sherpas qui prennent réellement tous les risques, en plus de se taper le portage de l’essentiel.
Et que ces bobos de l’escalade laissent tout ce qu’ils peuvent derrière eux…
Là encore, je suis révolté.
Des personnes qui, comme vous, ramènent leurs déchets dans leur sac à dos, il y en a, mais ça n’est pas, hélas, la majorité.
Pour Nice, le « repoussant » est déjà à la mairie, alors que ça se voit jusqu’aux trottoirs, c’est finalement normal.
La vidéosurveillance et la médiatisation du maire sont trop prioritaires pour s’occuper de ce qui est fondamental.
Quant aux écolos, pour ceux que l’on nous montre, c’est une posture.
Les « vrais » ne sont pas dans un parti qui collabore au pire ou qui bave devant le « pouvoir ».
En parlant de magie, ce soir sur M6, un très beau film d’animation… « Là-haut » ;-)
Vu au cinéma à sa sortie (2009), et je l’avais trouvé superbe et plein de poésie.
Avant mon exil volontaire en Corse, je naviguais dans la baie de Cannes au minimum tous les week-end et pratiquement tous les jours l’été sur mon petit voilier pour le plaisir et pour fuir la foule.
Vous ne pouvez même pas imaginer tout ce qui peut flotter sur l’eau, arriver sur les plages, et les fonds marins je n’en parle même pas !
Et tout ça jeté à la mer par des soi-disant amoureux de la mer bien sur.
Les centaines de bateaux amarrés entre les îles de Lérins quotidiennement bénéficient pourtant d’un service de ramassage des ordures, mais jettent par dessus bord.
Inutile de nier, je l’ai vu à maintes reprises !
Et il faudra m’expliquer le plaisir de venir par centaines s’agglutiner entre ces iles !
Certains bateaux n’ont vu de la mer que ce qui sépare les ports des îles… jamais plus loin.
Boire un coup au club de voile le soir et regarder passer la transhumance quotidienne en fin d’après-midi de retour des îles vers le port de Mandelieu est à mourir de rire…
Pour peu qu’ils soient au port à sec de la Siagne, c’est encore plus amusant de les voir faire la queue et s’engueuler comme dans les embouteillages.
Argh !!!! J’adore l’image que vous décrivez et que je vois très bien !
Et nous ne parlerons pas non plus des yachts amarrés à quai en permanence, juste pour s’y faire reluquer à boire du Champagne « entre amis » par les badauds… :)
Tant qu’il y aura des gens pour les regarder…
Dans ce manège, qui est le plus con ?
C’est transposable en politique, et c’est effrayant.
Ça c’est l’instinct grégaire, et c’est assez effarant en effet, voire inquiétant.
Idem sur une grande plage déserte en matinée… Vous vous installez, et ensuite tout le monde radine autour de vous, si possible à touche-touche.
En même temps, c’est rassurant pour ceux qui privilégient la qualité, car il reste des lieux pour eux.
J’ai longtemps été du côté de La Rochelle, et je dois dire que la mentalité des « voileux » et de leurs imitateurs me faisait sourire (mais pas toujours).
Et ne parlons pas de pontons où les 55, voire 64 pieds ne larguent quasiment jamais les amarres.
Ah oui ! :) :) :)
C’est du vécu ! J’étais à Quiberon (où j’ai passé pas mal de temps) sur la grande plage, à Port-Maria.
Il était à peine neuf heures… La plage était évidemment déserte et là, je le crois pas : une nana pourtant jeune et donc, on aimerait l’imaginer en tout cas, libre de ses faits et gestes, à la recherche comme moi, de la tranquillité du lieu…
Mais non, elle étale sa serviette à 3 m de la mienne ! J’ai juste éprouvé une envie de meurtre !
Comme malgré mes regards désapprobateurs, elle se sentait bien là, à me polluer la vue, j’ai attrapé mes cliques et mes claques et c’est en gueulant mon désespoir que j’ai du aller m’installer plus loin.
Ce « souvenir » date de plus de 10 ans mais il m’a marquée. L’instinct grégaire à ce point, je ne sais qu’en penser. Putain, moi qui ne supporte pas les voyages organisés… J’en ai fait deux dans ma vie (j’ai 58 ans) : en 2005, pour une croisière en goëlette sur la côte Dalmate en Croatie… Difficile sur un bateau d’échapper à l’esprit de groupe… Vive les escales à terre !!! :) :) :)
Et un autre pour un trekking en montagne en Turquie. Pffffff ! Insupportable de me farcir leurs tronches dès le petit-déjeuner ! Je les haïssais. Comme j’adore les saveurs extrêmement relevées (et en Turquie, ça tombe bien), les gentilles dames du groupe, tellement conquises par les saveurs « dénaturées pour faire plaisir au plus grand nombre », m’avaient « élue » testeuse pour leur rapporter si leur palais délicat allait tenir le choc de mets très épicés.
Un jour, j’en ai eu ras-le-bol d’être le cobaye-testeur : j’ai pris un plat (me rappelle plus du nom) particulièrement destructeur et j’ai dit : « c’est bon, vous pouvez y aller ! »
Elles se sont brulé l’oesophage au 3ème degré ! J’étais morte de rire en interne et elles m’ont foutu la paix le reste du temps ! :)
Seriez-vous un peu asociale et fière de l’être ? ;-)
La « norme », c’est l’esprit moutonnier, grégaire.
Les gens partent tous en même temps, dans les mêmes endroits.
Ils sont ravis d’embarquer sur des « paquebots » avec plusieurs milliers de personnes à bord.
Le pied, c’est la promiscuité, le bruit, les (mauvaises) odeurs, les inconvenances et autres impolitesses.
Toute personne qui aime le calme, la tranquillité, la qualité, est montrée du doigt, stigmatisée.
Bonne technique, que d’avoir brûlé ces mégères ;-)
Rire, puis-je ? :) :) :)
Alors, oui je dois être asociale et j’en revendique le titre ! :)
J’ai cette chance, au risque de me faire traiter de prétentieuse (j’assumerai…) de me sentir bien en ma compagnie.
Ah oui, j’adore ces immeubles flottants ! :) :) :)
Je me souviens quand je suis partie en Croatie, une « amie » m’avait dit : « et tu as pensé à ta robe du soir ? »
Moi, interloquée : « et pour quoi faire ? » et l’autre : « pour quand tu seras à la table du Commandant ».
Pauvre folle ! Je pars en goëlette ! On est une poignée à bord… L’équipage ne parle même pas un mot de français… J’ai finalement passé une douzaine de jours en short, y compris à table !
Et c’était vachement bien !
Et surtout, quand je suis à l’étranger, je fuis les Français qui vous « attendent » inévitablement au détour d’un bar ou d’un restaurant pour vous rappeler votre banlieue parisienne, votre boulot, votre feuille d’impôts… Ah si ! Les Français à l’étranger, les mêmes qui ne vous accordent pas un regard dans le métro, vous trouvent soudainement plein de centres d’intérêt à l’autre bout du monde ! Oui, mais moi, je ne voyage pas pour rencontrer mon voisin de palier ! :)
Je sais que je suis un peu « borderline » mais ma solitude m’apporte bien plus que l’envahissement de gens qui ne m’intéressent pas, la plupart du temps.
Des rencontres vraiment intéressantes, enrichissantes… Je pense qu’on peut, même à la cinquantaine, les compter sur les doigts d’une seule main.
J’ai aussi le droit de ne pas me faire pomper la moelle… :)
Les vraies rencontres, les vrai(e)s ami(e)s, c’est en effet très rare.
Je viens de faire un grand nettoyage de printemps dans mes outils de « communication », c’est impressionnant ! Et bigre, qu’est-ce que ça soulage.
Il faut se méfier des gens qui disent avoir plein d’amis, ils ne doivent pas trop savoir ce qu’est la qualité, ou alors ils prennent Facebook au mot, pitres qu’ils sont.
Sur le canal le long duquel j’aime me balader, déboulent parfois des groupes de vingt personnes, il faut laisser la place, sinon on vous écrase ou l’on vous jette à l’eau.
Le dimanche, ça ressemble presque à une autoroute s’il fait beau, ils sont à mourir de rire.
À d’autres moments, c’est désert, et la nature reprend ses droits, les oiseaux chantent, et les rares personnes qui se croisent se disent bonjour avec un grand sourire.
Les sorties en groupe, ça peut être sympa, mais il faut vraiment partager la même philosophie et ne pas trop se faire d’illusions sur les relations humaines.
C’est aussi ce que je crois.
Depuis que je suis à Nice, je me suis inscrite à un groupe de randonneurs. Nous nous retrouvons chaque mardi et chaque jeudi à 9h devant l’hôtel Négresco et c’est parti pour 3 bonnes heures de marche soutenue en direction de merveilleux panoramas.
J’avoue ne pas y être très assidue mais à chaque fois que je retrouve « mon » groupe (environ 12 personnes, ça dépend des jours), je bénéficie toujours d’un très bon accueil et nous partageons une réelle bienveillance au moins, pendant le temps que nous sommes ensemble même si je ne me leurre pas : chacun a sa vie et personne ne manque à personne.
Mais au moins, pendant ces quelques heures, nous partageons la même passion : la marche et notre région.
Pendant environ 3 heures, j’oublie tout le reste.
Oui, je crois à l’esprit de groupe quand il est dirigé vers une action, une passion commune.
Ce qui n’a rien à voir avec du moutonnage.
Chacun est là parce qu’il sait que ça lui fait du bien.
D’ailleurs… Faudrait que j’y retourne… :) :) :)
Moi, j’en reviens, une douzaine de kilomètres…
Et j’ai mon véhicule de liaison qui attend de rentrer au garage ;-)
Il s’appelle Barnabé, et j’essaye de le convaincre de se présenter aux Présidentielles 2017…
:) Eclat de rire, puis-je ??? :) :) :)
Oui, vous pouvez.
En plus, je crois au hasard des rencontres, et comme celle-là est (presque) véridique ;-)
Photo bien prise ce jour (enfin hier), au hasard de mes pérégrinations.
En parlant tranquillité, en ce beau dimanche de mai, un étang à la périphérie de la ville ;-)
Mais il est vrai qu’il y avait un triathlon ce jour-là, juste un peu plus loin…
Tout ce que j’aime ! ;) ;) ;)
Quand j’habitais encore à Vincennes et qu’il m’arrivait d’aller au Parc Floral le week-end, dès les premiers rayons du soleil… J’ai toujours eu du mal à comprendre le plaisir que prenaient tous ces milliers de gens à se vautrer dans l’herbe, comme des veaux.
Sur la Côte d’Aur où je vis maintenant, c’est pas mieux.
Leur « fameux » soleil les plonge dans une léthargie et un laisser-aller qui leur rend bien service…
A fréquenter une petite terrasse de café près de chez moi, à l’heure de l’apéro le soir, j’écoute, j’observe et je m’y suis fait une relation de comptoir. Pas très glorieux mais assez enrichissant pour apprendre la ville en accéléré.
Certains ici, dans mon quartier, n’on quasiment jamais bossé ou ne bossent plus depuis 20 ans. Une grande partie de la population est au RSA au vu et au su de tout le monde.
C’est devenu la norme. Les autres, dans leur grande majorité, touchent le smic…
Etant moi-même au chômage à la recherche de solutions pour gagner de l’argent (je n’ai pas dit travailler car je suis usée…), cette relation de comptoir pré-citée m’a dit : « mais vas aux allocations familiales (c’est en plus à 100 m de ce bar que je fréquente). L’assistante sociale va se débrouiller pour te payer ton loyer. Si tu t’y prends bien, elle te payera au moins deux ans de loyer. Tout le monde fait ça ici. La caisse d’allocations familiales des Alpes-maritimes est la plus riche de France ».
Tout ça pour dire qu’ici, ce n’est pas l’énergie qui domine et dès que le soleil se pointe, du Nord au Sud de la France, c’est l’abrutissement total et l’abêtissement de la population, le cul assis sur la plage, dans l’herbe ou à-même le bitume pour les moins « chanceux ».
J’ai malheureusement peur d’être atteinte depuis 6 mois, par cette vague de nonchalance…
D’un autre côté, ces personnes n’ont-elles pas (presque) tout compris ?
Une vie de lézard, sauf qu’eux gardent leur queue (presque aussi)…
Le stress, ils l’ont évacué, et les assistantes sociales ont leurs « usagers », ce qui garantit leur emploi à vie.
C’est un vrai business, que vous pouvez observer ainsi.
Idem, hier après-midi (un dimanche) j’ai fini sur la terrasse (le trottoir) d’un bar de quartier « populaire ».
C’était stupéfiant comme ambiance ! Les têtes, les comportements, tout était presque surréaliste…
Du coup, j’ajoute deux scènes, toujours vues hier, autour de cet étang…
Sport « de salle » en extérieur, en toute discrétion :
Barbecue discret, à 16h15, ambiance intime :
(Remarquez, encore, la foule de l’autre côté.)
Ah, il a tout compris, Barbecueman ! :)
Je me situe bien dans ce registre-là !
Et dire qu’en plus, ce troupeau de veaux l’envient à coup sûr… :)
C’est vrai que je suis devenue complètement asociale. Je sais que je passe assez souvent pour une bête étrange, voire anormale… C’est bizarre, mais ça a plutôt tendance à me sécuriser… ;)
Ahhhhhhhh ! Ma suprême tare !!!!! N’avoir jamais foutu les pieds au Club Med’ !
Remarquez, tout comme les immeubles flottants voguant sur la Méditerranée, ça ne m’a jamais manqué ! ;)
Et puis, en ce moment, notez que la Méditerranée est déjà assez encombrée comme ça !
Qu’est-ce que l’Italie va faire de ces centaines de migrants qui débarquent sur ses côtes à longueur de journée ?
Bon… Ils en refourguent pas mal à Nice, remarquez… Sauf que l’Estrosi, il commence à paniquer ! Il vient de lancer un appel au… gouvernement (j’ai de plus en plus de mal à prononcer et à écrire ce mot-là !)
Les Niçois sont complètement excédés de ce qui leur arrive…
Remarquez, des Niçois à Nice, il y en a à peine 20 % !
Avenue Jean-Médecin (nos Champs-Elysées locaux), y’a surtout des Belphégor ! Ces femmes nappées de noir de pied en cap, se voilant la face mais envahies de mômes dehors, à la main, en poussette à places multiples et sous le burnous !
Les Niçois racistes ? Non, juste totalement excédés de vivre dans une ville qui a perdu toute identité.
Depuis qu’il a été racheté par les Chinois, le Club Med’ est devenu élitiste, signe des temps.
Pour le barbecue, le problème, c’est que les gens font le tour de l’étang pour se ressourcer, respirer un peu, pas pour renifler des merguez carbonisées de la grande distribution.
Pour Nice, Estrosi me donne de l’urticaire à chaque fois qu’il apparait à la TV, et comme c’est souvent…
Je pense que c’est pour limiter l’immigration qu’il verbalise par vidéo, mais avec le niqab / la burqa, il est tombé sur un os ;-) Et pendant ce temps, on nous vote/impose une loi « Renseignement » totalement liberticide…
Les commentaires sont fermés.