Hier, je voulais photographier un paratonnerre.
J’en ai bien trouvé un, en haut d’un château d’eau.
Mais, au smartphone, le résultat aurait été peu exploitable.
Surtout avec un ciel complètement plombé.
Mais peu importe, l’idée était là.
Il y a des gens qui ne pensent qu’à décharger des ondes négatives.
Et vous êtes le paratonnerre.
Ou alors, trop « sympa », vous êtes un véritable aimant à parasites.
Je vise particulièrement les pires, les profils « PN » (pervers narcissiques).
Le genre qui s’accroche, par tous les moyens, et qui vous pompe.
Ils pompent tout, votre temps, votre énergie, votre argent, votre santé.
Leurs « cibles » ne sont que des objets, des « ressources ».
À épuiser, à vider, avant de passer à une autre « victime », tant qu’ils/elles en trouveront.
Et le talent de ces gens est considérable.
Puisqu’ils jouent sur tous les leviers, comme la victimisation.
Et ils ne respectent pas vos limites, quelles qu’elles soient.
En plus, je constate qu’il y a des « périodes ».
Où l’on ne vous lâche pas la grappe.
Où l’on s’acharne.
Vous vous débarassez d’une engeance, une autre apparaît.
Et pour moi, après une année 2024 compliquée.
Ça a été un feu d’artifice en ce mois de janvier 2025.
Et encore, je ne vous raconte ici qu’un pouième de mes aventures.
Et en occultant des détails scabreux.
Voire en « protégeant » — cf. l’anonymat — des gens qui ne méritent pourtant pas cette ultime attention.
Avant-hier, en fin de journée, un appel catastrophé.
Un ordinateur qui ouvre plein de fenêtres.
Un clavier qui ne répond plus.
Une « souris » — cf. le pavé tactile — paralytique.
Sur un ordinateur portable vieux de plus de onze ans.
À l’époque, j’avais eu le malheur de conseiller cet achat.
Et ça me retombe sur la gueule, comme ça, sans prévenir.
Trop gentil, je n’envoie pas totalement bouler.
Je pose des questions pour trouver une cause.
Et oriente vers un/des virus.
En retour, de la pleurniche, du chantage « Que vais-je devenir ? »…
Je finis par dire de tout éteindre et de laisser reposer jusqu’au lendemain.
Angoisse à l’autre bout, et toxicité larguée chez moi…
Hier, à 10h51, je reçois un SMS que je n’hésite pas à vous livrer :
« Pardon pour hier soir
Je suis dans une phase anxieuse balèze depuis une dizaine de jours
Pour le « bug » de l’ordi.. c’est à la fois pire et préférable que ce que tu envisageais
J’ai compris ce qui s’était passé bien après qu’on ait raccroché.. je m’étais alcoolisée.. je me suis endormie sur le clavier.. un peu de mon breuvage à coulé sur le pavé numérique..
Je suis parvenue à tout retrouver.. le temps que ça sèche.. sauf.. l’utilisation du clavier. J’ai retrouvé mes chaînes de télé en les cliquant dans l’historique
Apparemment les données sont là. Pour le clavier je vais continuer à faire des tentatives en appuyant sur la touche FN puis F9.. et aller voir d’autres tutos..
Impossible également de désinstaller OneDrive
Au moment où je te parle j’ai la télé mais je trouve que ça ventile fort et bruyamment.. je vais l’arrêter
Je suis effondrée d’être à l’origine de ce qui me met tellement à mal
Comme d’hab en fait..
Est-ce que je peux te tél d’ici 5 minutes ?
T’inquiète j’ai pas bu et je suis très calme »
Pitoyable !
Et un « pardon » qui ne vaut rien puisque l’on continue à me polluer.
Puis, discussion téléphonique qui ne m’envoie que des mauvaises ondes.
« T’inquiète j’ai pas bu et je suis très calme », mais la méchanceté est toujours là.
J’ai beau être habitué, cette toxicité est stupéfiante.
Et je finis par raccrocher, brutalement et sèchement.
Avec, une fois de plus, un profond malaise dont je n’avais nullement besoin.
Je regarde alors une notification sur mon téléphone…
C’était l’hôpital qui avait tenté de me joindre.
Heureusement, ça n’était pas le CHU pour ma greffe, mais pour me fixer un rendez-vous.
En avril, un examen de plus.
La preuve que ces « pollutions » ont des effets induits qui peuvent aller loin.
En espérant que l’on ne me trouve pas un cancer que ces gens essayent de développer chez moi.
Comme si les reins foutus ne suffisaient pas pour que l’on me foute la paix.
Et toutes ces « personnes » le savent, pour la plupart…
Et en plus, il y a tout le reste, dans une société totalement dysfonctionnelle.
Avec la Loi de Murphy qui est maintenant vérifiée presque systématiquement.
Là encore, il y en a tellement que j’en rigole, nerveusement.
En attendant, à 62 ans, je suis de plus en plus radical, et je… « blackliste » !
Question de survie, même si ça a ses limites.
Visuel : « Chez moi, ça n’est que de l’eau. »
© PF/Grinçant.com (2025)
2024 « compliqué », 2025 « feu d’artifice » : j’espère que le feu d’artifice de ce début d’année ne se rallumera pas et que vous pourrez poursuivre une année 2025 de façon plus sereine. Votre santé prime sur tout le reste !
La situation de l’ordinateur qui plante, je l’ai déjà vécue… les gens qui vous oublient et qui se rappellent que vous existez uniquement quand ils ont besoin de vous. Classique. J’ai fait comme vous, j’ai dit à cette personne ce que j’en pensais. Elle n’a pas apprécié, je n’ai plus de nouvelles depuis. L’amitié ne tient qu’à un fil. Les amis, on les compte sur les doigts d’une main. Les autres, ce sont des « copains/copines ». Qui passent dans votre vie et s’en vont comme ils sont arrivés : par hasard (et par intérêt). Ainsi va la vie…
Là, nous sommes sur des cas plus graves, carrément pathologiques/psychiatriques, et sans aucune volonté de se soigner.
Tant que l’on peut emmerder les autres, on le fait, et sans vergogne ni pudeur.
Leur dire qu’ils/elles sont toxiques les encourage presque, c’est leur moteur et il n’y a rien à y faire.
Je dis de plus en plus « On ne peut reprocher à un scorpion de piquer, ou à une tique de sucer*… ». Seul moyen, fuir !
Nous sommes le 31 janvier 2025, demain c’est février, j’espère que ça va changer pour moi, car je sature.
Question « ami(e)s », vu le « nettoyage » que je fais en ce moment, je vais pouvoir me retrouver totalement… manchot !;-)
* Maladie de Lyme en prime/cadeau.