Vous voulez que je vous parle de quoi ?
En ce moment, je ne sais plus.
Difficile d’être positif, et pas envie de sombrer dans le négatif.
Alors je vais recommencer avec la… lune !
Ce matin, 7h46, je lève les stores…
Et que vois-je, pile en face ?
Une magnifique pleine lune !
Qui continue son manège, comme si de rien n’était.
Qui se fout bien du Covid et des taré(e)s qui nous tourmentent.
Qui, malgré ses « phases », n’est pas cyclothymique.
Une jolie lune qui m’adresse ses salutations matinales.
Il y a pire pour commencer une journée.
C’est alors que je sors le grand jeu.
Que je vais chercher un joujou que je me suis procuré en octobre/novembre 2021.
Un objet que j’ai eu toutes les peines du monde à — finalement — obtenir.
Mais voilà, je vais pouvoir le « justifier »…
Je sors cette « bête » — un 150-600 mm — de 2 080 grammes et la monte sur mon boîtier.
C’est un capteur APS-C, donc mon 600 mm en bout de focale devient un… 900 mm !
À main levée, difficile de tenir l’ensemble qui fait maintenant 2 866 grammes.
Mais je me refuse à sortir le trépied : trop long, et le jour va vite se lever.
Alors ça bouge… Je bouge, et la lune, mine de rien, aussi…
Mais j’arrive à faire quelques photos.
La photo d’origine…
En recadrant/cropant, avec passage en noir et blanc et un peu plus de contraste…
L’objectif monté sur l’un de mes deux boîtiers…
© PF/Grinçant.com (2021)
— 49 heures plus tard —
(21/12/2021-8h46)
Mêmes conditions de prise de vue (toujours à main levée), mais probablement moins de voile atmosphérique, et sans doute un photographe plus calme (pourquoi s’énerver en ce moment ?).
Je trouve qu’il y a plus de netteté/de détails.
© PF/Grinçant.com (2021)
Avec votre bazooka photographique, vous ne l’avez pas ratée la lune, et elle est de couleur feldspath blanchâtre, nacrée dite « pierre de lune ».
Je l’aime également de couleur orangée, surtout le matin quand elle est en forme de croissant et qu’au « petit déj' » j’ai un croissant à me mettre sous la dent !
« (…) la lune était en son plein, mais beaucoup plus pâle qu’à l’ordinaire (…) »
Cyrano de Bergerac (Savinien de), 1619-1655, Œuvres diverses, Lettres diverses, « Pour les sorciers ».
La lune a inspiré de nombreux poètes, écrivains, chansonniers et d’expressions dont quelques-unes me viennent à l’esprit et d’autres, ne connaissant pas, me surprennent… En voici quelques-unes, pêle-mêle :
La lune aux cornes d’argent ; La lune est appelée l’astre au front d’argent ; La lune, astre, flambeau de la nuit, reine de la nuit.
Diane, Phœbé, Séléné, noms de déesses et noms poétiques de la lune.
« Aboyer à la lune ».
« Faire un trou à la lune » : s’enfuir sans payer ses créanciers, après une banqueroute.
« Demander, promettre la lune » : demander, promettre une chose impossible.
« Vouloir prendre la lune avec ses dents ».
« Elle irait décrocher la lune pour lui » : elle tenterait l’impossible pour le satisfaire.
Les types vous promettent la Lune : pour ce que ça leur coûte.
« Pêcheur de lune (ou de lunes) ». Rêveur.
« Faire voir, montrer la lune en plein midi » : abuser de la naïveté, de la crédulité de quelqu’un.
« Les vieilles lunes, les lunes d’autrefois » : le temps passé dont il ne reste aucun souvenir.
« S’en aller rejoindre les vieilles lunes » : disparaître complètement, tomber dans l’oubli.
Et la dernière, argotique : « Se faire taper dans la lune » : se faire sodomiser.
J’ai fait mieux ce matin (cf. addenda).
En ce moment, il y a un paquet de gens qui « se font taper dans la lune », et ils ont l’air d’aimer ça et d’en redemander… :-/
Les goûts et les couleurs ne se discutent pas, n’est-ce pas ?
Des goûts spéciaux, contre nature !
« Quand il (le baron de Charlus) avait découvert qu’il “en était”, il avait cru par là apprendre que son goût, comme dit Saint-Simon, n’était pas celui des femmes. »
Proust (Marcel), 1871-1922, À la recherche du temps perdu, t. XII, p. 17.
On dirait que ces « goûts spéciaux » deviennent la norme. Et comme la nature a horreur du vide, il semblerait que ce soit aussi le cas par là.
Concernant ce produit, il faudrait que je vérifie si la situation s’est améliorée : Pénurie de vaseline (05/2020)
En attendant, vous pouvez toujours envoyer alain faitchier, euh fisher, le coordinateur de la politique vaccinale du gouverne-ment, sur la Lune.
Un petit pr pellerin bis, ce clown, qui n’a rien de drôle pourtant.
Et comme vos photos sont belles, il devrait être ravi d’y faire un alunissage, et nous aussi d’être ainsi débarrassés de ce corniaud.
Après, il faudra refaire des photos, voir comment Séléné réagit au poison de ce type.
Si une petite météorite traversant son orbite vient aplatir cette raclure, je veux le cliché :-)
La Lune : trop proche, encore, pour y expatrier le genre d’ordures citées ; trop belle aussi pour eux, je verrais plutôt l’enfer, ça leur correspond mieux.
Samedi, tandis que je rentrais de randonnée, vers 17h15, elle était haut dans un ciel en tranche napolitaine, gris sombre sur l’horizon, plus bleuté juste au-dessus et rose grisé pour terminer.
La lune me regardait, accrochée comme une broche d’opale sur l’étoffe du ciel, et derrière moi le soleil se couchait dans un incendie de rouge orangé, c’est là que j’ai regretté de ne rien avoir emporté pour immortaliser toute cette beauté, qui, ces temps derniers, est bien la seule à me consoler de toute cette absurdité, celle que ces gougnafiers osent nous imposer, merci pour ces clichés :-))
Ce genre de « satellite » (naturel) de la terre permet de nous remettre les idées en place.
Et même quand elle n’est pas visible, il suffit d’aller observer les marées pour penser à elle.
À minima, un smartphone permet d’immortaliser ce genre de moment. Et en randonnée, mieux vaut en avoir un, c’est plus prudent.
La lune nous accompagne avec sérénité et bienveillance.
Le genre de vision qui fait du bien le matin comme le soir.
Pour ces parasites/traîtres, c’est plutôt un trou noir qu’il faudrait.
Deux nouvelles photos prises ce matin, à 8h46, avec une meilleure maîtrise du bazooka ;-)
Addenda.
Extraordinaires ces deux photos du jour, on a l’impression qu’on pourrait la toucher, cette grosse boule, surtout sur le tout dernier cliché où on voit nettement ses cratères, impressionnant !
Ces derniers temps j’oublie souvent mon phone à la maison, trop préoccupée sans doute par tant de sujets, peu agréables en plus, et c’est bien sûr quand je ne l’ai pas à portée de main qu’il se passe un truc à immortaliser. Faut que je m’en achète un avec appareil photo performant, rien que pour les randos, à avoir toujours dans le sac à dos… ;-))
Le deuxième cliché est tiré du premier, mais avec un passage en noir et blanc, un renforcement du contraste, et un « crop » (recadrage). Si je voulais faire une impression grand format, il faudrait que je prenne la première. Par contre, pour un visionnage sur écran, la seconde convient parfaitement.
C’est marrant, on dirait vraiment un melon.
En randonnée, le smartphone doit être considéré comme un outil de sécurité : pour appeler les secours si nécessaire, et pour avoir sa position GPS (éventuellement pour les secours, c’est plus précis que le bornage/la triangulation réseau). Bien sûr, on peut faire de la photo, même si la démarche est différente de celle avec un « vrai » APN.
Sortez le bazooka, les roquettes et même un bon affût quadruple lance-missiles.
Joli, avec vos photos est notre astre.
Par contre, s’annonce un désastre.
Georges Orwell s’est trompé, son livre est largement « bas been » vu les idées farfelues qui germent dans le cerveau de certains après le lessivage Covidien.
Suède : une puce implantée sous la peau, mise au point pour faire office de pass sanitaire (VIDEO) (RT.com — Le 16/12/2021)
Mais où allons-nous ? Même les Suédois deviennent — pour certains — complètement siphonnés du ciboulot.
Je songe que les fous-furieux de ce gouverne-ment vont tenter de nous imposer ce truc histoire, eux aussi, de prendre des photos, mais pas les mêmes.
Moi, c’est plutôt une bille de plomb que j’ai envie d’implanter à tous ces geeks fous-furieux qui ne se rendent même pas compte de la dangerosité et des atteintes à la liberté individuelle que leurs merdes peuvent engendrer entre certaines mains.
Lisez bien quand même la justification du pourquoi ce truc serait super. « très pratique au cas où votre téléphone n’aurait plus de batterie », se félicite Hannes Sjoblad.
Il est complètement aliéné ce type. Est-il au courant que le support papier existe encore ? J’hallucine !!
Lui aussi faut l’envoyer sur la Lune, en y alunissant bourré de puces ça peut faire un beau feu d’artifice qui méritera de belles photos ;-)
Le problème, c’est que ces « startuppers » sont vraiment prêts à tout genre « idées foireuses » pour tenter de faire du fric.
Et en général, plus c’est con/grotesque, mieux ça marche, et les politiques ne peuvent qu’en être friands (avec en prime des escroqueries à tous les étages, principe même de la « startup »).
Bon, la puce semble quand même plus grosse que le cerveau de cet abruti.
Bonjour, PF/Grinçant, bonjour à tous, lecteurs, contributeurs,
À quelques heures du réveillon de Noël, et avec la reprise qui va crescendo, de la folie Covid, alors que même nos affreux du gouverne-ment reconnaissent que le Omicron est bien moins dangereux que le virus de la souche initiale, ou peut-être aussi qu’ils sont obligés d’être un peu crédibles, pour une fois, au vu du peu de morts que fait ce variant, surtout par rapport au nombre de contaminations brandi tous les jours à la télé et dans les journaux, comme technique journalistique pour entretenir la peur dans la population et la pousser à accepter l’identité numérique, je voulais souhaiter au créateur de ce blog et à tous·tes/toustes* ses contributeurs·trices* un Noël serein, paisible, joyeux même, en dépit de tout, car comme le disait Voltaire : « J’ai décidé d’être heureux, parce que c’est bon pour la santé. »
N’oublions pas que Noël, c’est d’abord la fête de la naissance d’un enfant au destin extraordinaire autant que tragique.
Qu’on soit croyant ou non, qu’on ait perdu la foi ou qu’on l’ait retrouvée en ces temps troublés, ce Jésus reste le symbole de la Résistance, à tous les niveaux, contre les puissants, arrogants, abusifs, impitoyables, contre la bêtise, l’hypocrisie, l’avidité, la lâcheté, la méchanceté, la haine, la laideur d’une certaine humanité, qui n’a pas tellement changé finalement, au fil des siècles, malgré les progrès scientifiques et technologiques.
Il a tenu bon face au pire, que cela nous inspire une égale résistance aux pressions des covidistes !
Que cette soirée soit en compagnie de vos amis, la famille de cœur qu’on se choisit, ou de votre famille de sang qui peut, elle aussi, être celle du cœur, ou même seul(e) plutôt que mal accompagné(e), je vous la souhaite belle, douce, gaie, oui gaie, pour bien les em…der, ces oiseaux de mauvais augure, qui essaient encore jusqu’au dernier instant de nous pourrir l’ambiance avec leurs consignes absurdes, ouvrir les fenêtres toutes les 10 minutes pendant le réveillon, mais porter son masque en extérieur, tests avant, pendant, après, course à la 3e dose plutôt qu’à l’échalote, rien ne nous aura été épargné dans le ridicule, et là ce n’est pas trop dur de résister, sauf à l’envie de les baffer tous, mais c’est la trêve.
Bon Noël à vous tous, ami(e)s :-)))
* Correctif de PF/Grinçant, avec un peu de « français inclusif », histoire de montrer l’horreur de la chose.
Décidément, encore un peu de « synchronicité » !;-)
Publié à 14h53, en cours d’écriture pendant que vous postiez, @Corinne D : Noël en 2021, la résistance au pied du sapin et autour des tables
PS : Des « contributeurs », vous noterez qu’il y en a de moins en moins… Les effets de mes prises de position sur le Covid-19 & Confinement & Pass & “Vaccin” ?
Ahahaha, peut être que je capte les pensées des gens qui sont sur la même longueur d’onde que moi ?
Et comme dans la Nature, qui sait si bien faire sa sélection en ne gardant que les meilleurs parmi les spécimens du vivant, il en va peut-être de même pour vos contributeurs ? ;-))
Pour ceux qui ne commentent pas, plus, parce qu’ils sont vaxx-passe, il est possible que les « dingueries » qu’ils ont foutues dans leurs pseudos vaccins commencent à leur polluer le cerveau, sans compter tout ce qui se passe actuellement avec ce variant relativement inoffensif et ces injonctions à la 3e, 4e dose — bientôt, pourquoi pas, la perfusion en continu de la soupe vaccinale — et qui les prive de plus en plus d’arguments valables pour justifier cette mascarade, tandis que les gouvernants schizophrènes continuent de marteler leur « Vaccinez-vous, protégez-vous et protégez les autres ! ».
Quand on a autant d’insistance à vouloir utiliser un truc qui ne marche pas, du point de vue sanitaire, bien entendu, c’est que le but est tout autre, et certains commencent à comprendre, à douter, quand d’autres refusent maintenant catégoriquement les doses suivantes au risque de perdre leur précieux passe, la Vérité trace son chemin, le gros risque est que beaucoup de « vaxxs » en voudront terriblement à ceux qui ne se sont pas laissés piéger, leur haine risque de monter encore de quelques crans, bien utilisée, manipulée, cela peut entraîner de graves conséquences pour les résistant(e)s.
Mais Le Christ aurait dit « N’ayez pas peur, j’ai vaincu le monde ! », alors, nous aussi nous vaincrons le monde ou c’est lui qui nous vaincra, mais quelle importance puisque nous ne voulions pas nous y perdre.
Belle journée de Noël, Philippe.
« Et comme dans la Nature, qui sait si bien faire sa sélection en ne gardant que les meilleurs parmi les spécimens du vivant, il en va peut-être de même pour vos contributeurs ? ;-)) »
Je ne sais pas, car il y en avait des bons et des fidèles, mais j’ai noté deux phases dans la tendance à la baisse de la « participation » :
• Quand j’ai commencé à parler — en toute transparence — de mes problèmes de santé.
• Avec cette crise « Covid » qui m’a amené à prendre fermement position et, probablement, à braquer bon nombre de personnes. En même temps, je veux sortir les gens de leur « zone de confort », et là c’est peut-être parfaitement réussi. Bon, d’un autre côté, j’ai fait particulièrement fort, puisque, à cet instant, j’ai tagué 143 articles « Covid-19 & Confinement & Pass & “Vaccin” » depuis le 08/03/2020.
Marrante, cette tendance à vouloir emmener dans sa déchéance/son humiliation tous ses concitoyens, y compris, pour beaucoup, leurs propres enfants. Je ne sais pas comment ça va se passer aux portes du Paradis, s’il existe.
Bon, ce n’est plus le bazooka qu’il faut sortir, pas non plus l’affût quadruple lance-missiles dont je parlais, il faut sortir le missile balistique d’urgence.
Motif : il est urgent de ventiler les cons !
Comment ruiner sa crédibilité et passer pour un guignol en quelques mots. Demandez au hareng, il vous dira, c’est un champion hors pair, d’ailleurs il convient de le rebaptiser Orangina tellement il est secoué du bulbe.
Je cite :
Décryptage :
Il justifie le non-report de la rentrée scolaire par le faible nombre d’enfants hospitalisés Covid. (Bon, pourquoi pas, effectivement pas beaucoup d’enfants Covidés dans les hôpitaux)<; Oui, mais, dans le même temps (marque de fabrique de LaRem), il nous indique qu'il faut impérativement vacciner les gamins de 5 à 11 ans contre le… Covid ! Et il conclut pour étayer tout ça que la bronchiolite est bien plus dangereuse pour eux et qu'elle est responsable de 2 à 3 000 réas chez les enfants chaque année.Je rappelle qu'« Orangina » est médecin neurologue. Je crois définitivement qu'il est proctologue vu la merde qu'il a dans le cerveau et qu'il nous sort sans cesse.Pourquoi c'est crédibilité zéro : La bronchiolite, dans 90 % des cas, touche les enfants… de moins de 2 ans qui, normalement à cet âge, ne sont pas scolarisés, mais ce sont eux qui sont très majoritairement hospitalisés. Pas la tranche 5/11 non de Zeus, en tout cas pas pour la bronchiolite. Les chiffres ne sont pas inventés, ils sont officiels et accessibles à qui veut s'en donner la peine.Bref, on va vacciner les 5/11 parce que la bronchiolite est dangereuse pour un profil d'enfants d'âge différent, que les hospitalisations sont importantes non pour cause de Covid, mais pour cause de bronchiolite et le profil visé par la piquouse est peu concerné ou à la marge par la bronchiolite et peu malade du Covid ! Voilà comment il justifie le non-report de la rentrée scolaire, mais le caractère plus qu'incitatif de la vaccination pour ce public. C'est magique, non ?Faut vraiment être con à bouffer du foin pour sortir des âneries pareilles et se baser sur celles-ci pour justifier ces choix sanitaires. Et "Orangina" est médecin, ministre de la santé et participe au « conseil de défense sanitaire ».
Conclusion : Crédibilité zéro pour ce sinistre !
Vous vous étonnez que ça aille mal ? Que les décisions prises soient aussi débiles et inefficaces ?
Moi non, et ce n’est pas fini.
Nous touchons le fond, mais ces brêles du gouverne-ment creusent encore…
Bonne journée.
Oui, en plus un « proctologue » qui a la tête dans le cul, alors je ne vous décris pas ses pratiques (de toutes les manières, vu comment il sait couiner — cf. le fameux « Sortez d’ici ! » du 04/11/2020 à l’Assemblé nationale —, il doit subir régulièrement un contrôle de la prostate, probablement avant chaque « réunion »)…
Ces gens sont de sinistres clowns.
Je rappelle que le personnage du « clown » est présent dans beaucoup de films d’horreur/de terreur, et pas à la meilleure place.
Ou alors on nous a mis des « Joker », et là, le recours, c’est, éventuellement… Batman !
Pour Hippocrate, si le médecin ne pouvait soigner/guérir, au moins il ne devait pas nuire…
Comment des gens qui ont juré fidélité à ce serment peuvent trahir à ce point l’esprit, l’essence même de ce qui y est inscrit ?
Je me désespère pour les enfants, sans défense, sans possibilités de choix, aussi bien ceux de 5-11 ans que ceux en gestation puisque ce type qui a tout renié pour sa carrière politique incite les femmes enceintes à se faire vacciner, même au 1er trimestre de leur grossesse alors que tout le monde sait que ces 3 premiers mois sont décisifs pour éviter toutes malformations et autres joyeusetés qui risquent d’affecter toute la vie future de l’enfant, si vie il y a, puisqu’il s’avère, d’après une étude de médecins/scientifiques non corrompus qu’il y aurait 8 fois plus de fausses couches chez les femmes « vaxx » que chez les « non-vaxx », mais là encore, qui en parle, chez nous ?
On préfère continuer de stigmatiser les « non-vaxx », pour masquer à quel point ces soupes ARNm ne marchent pas (normal, si leur but n’est pas de « lutter contre la pandémie »), mais ça aussi c’est une grande première dans l’histoire de l’humanité : mettre l’échec d’un traitement sur le dos de ceux qui ne le prennent pas !!!
Pour les clowns, je les ai toujours détestés (j’aime pas le cirque, non plus), non seulement ils ne me faisaient pas rire, mais, soit ils me donnaient envie de pleurer soit ils m’épouvantaient, et c’était largement avant les romans de Stephen King. Comme quoi, aussi, la réalité dépasse souvent la fiction…
Et que dire des « médecins » qui œuvrent dans les « vaccinodromes » ou qui injectent à leur cabinet ?
J’avoue que je regarde cette profession de plus en plus avec un œil torve alors que j’en suis dépendant. Même à la pharmacie, j’y vais à reculons/avec appréhension.
On pique les femmes enceintes ? Mais si elles y vont…
Même si cet état/argument n’est plus un rempart dans la tête d’une (future) mère, que pouvons-nous faire ?
En plus, « obéir » à de telles bavures — ce gouvernement de dingues et son aréopage de dégénérés/de courtisans — est risible/pathétique, surtout pour des sujets aussi importants.
PS : Plus rien ne va… En plus, avec cette météo pourrie, je suis privé de… lune !:-/
Pour les avoir côtoyés pendant plus de 35 ans, je peux vous assurer que ce n’est plus d’un œil torve que je les regarde, mais avec une profonde méfiance, voire carrément du mépris — pour certains d’entre eux —, même s’il reste de bons praticiens à la déontologie et à l’éthique impeccables en même temps que compétents. Ils sont, à tout casser, une faible minorité, cela se voyait déjà « de mon temps » au niveau des internes, devenus depuis, médecins généralistes ou spécialistes. De toutes les manières, une partie de cette minorité qui ne veut pas jouer le « fameux jeu » de micron/casse-tête/véreux, se voit interdire l’exercice de sa profession, alors…
« Trop d’influenceurs parce que trop d’influençables »… Tout est fait pour convaincre les femmes enceintes de se faire piquer, avec, en ce qui les concerne, un discours culpabilisant qui laisse sous-entendre un manque de sens des responsabilités en tant que futures mères, vis-à-vis d’elles-mêmes, d’abord, mais aussi vis-à-vis du bébé à naître ; il suffit de taper : « vaccination des femmes enceintes covid » dans Google pour constater l’ampleur du mensonge en même temps que celui du lavage de cerveau.
Comme vous le souligniez, les soignants ont leur part de responsabilité dans cette honteuse mascarade, et dans ce cas précis, ils s’y mettent toutes et tous, y compris les sages-femmes, pas si sages que ça, en fin de compte !
Rien ne dure jamais, PF, déjà en ce qui concerne la météo, qui, ces derniers jours, avait l’air de coller à la sinistrose ambiante ; aujourd’hui, comme une impression de printemps avant l’heure, pour la balade, que du bonheur !
Et la nuit sera claire d’après les prévisions d’Orange, la lune sera peut-être au rendez-vous demain, à votre fenêtre, pour le dernier jour de l’année 2021 ;-))
Moi, les météos que je surveille ont plutôt tendance à me plomber l’ambiance. Et même au dernier moment, les « prévisions » sont tout juste bonnes.
À cet instant, le temps est splendide (et 13,2 °C sur mon balcon), et ça n’était pas annoncé.
Les soignants ? C’est dramatique pour leur image ! Mais peut-être est-ce aussi un éclairage cru sur la réalité.
En attendant, pour ce qui me concerne, question « médical/santé », je ne rigole pas pour ce qui m’attend pour 2022. Et ça se profile encore plus mal que prévu.
PS : Le 16 décembre dernier, j’avais rendez-vous avec une « soignante », quasiment comme chaque mois. Pour l’occasion, je lui avais acheté une boîte de 49 « chocolats G » ;-). Rendez-vous annulé par le secrétariat 1h30 avant, pour « motif personnel », avec promesse qu’elle me recontacterait. Depuis, aucune nouvelle.
Ses chocolats, ben… je les mange !
Tant pis pour elle, le malheur des uns fait le bonheur des autres, de ceux qui se vengent en mangeant les chocolats qu’ils voulaient offrir ;-)
Oui, je pense bien à vous et à ce parcours du combattant permanent en rapport avec cette saleté d’IRT.
Question peut-être indiscrète, n’avez-vous pas la possibilité de vous faire suivre dans le privé, où les conditions sont quand même moins dramatiques que dans le public ? Nous avions un chirurgien qui faisait des vacations dans notre CHG, mais qui avait aussi des consultations et un suivi de ses patients privés, en hospitalisation dans la principale clinique du coin.
C’est bien pire dans le « privé » où un IRT est essentiellement vu comme un dialysé à 100 000 euros par an.
Non, je m’estime plutôt très bien traité — je m’implique aussi beaucoup —, mais je constate que ça se dégrade énormément (l’hôpital) depuis cette mascarade.
Je rappelle ne serait-ce que ce billet : Crise du Covid-19 et reins viables à la poubelle (J’ai eu depuis un aveu : « Oui, les greffes, ça a été compliqué. »)
J’observe aussi beaucoup de « congés/vacances »…
Au moins, les chocolats de la « soignante », ça permettra de justifier mon HBA1C… :-/
PS : Dans mon cas, la « suite » (greffe/transplantation), de toutes les manières, c’est dans le « public », en CHU (en l’occurrence, ce serait plutôt Nantes pour moi).
Bonjour PF/Grinçant !
Oui, c’est un truc qui m’a étonnée dès le début, que dès que çà devient « un peu sérieux », il faille se rendre à Nantes, ou encore Bordeaux, comme si ce département n’avait pas le niveau suffisant, en tout, praticiens, locaux, personnel, matériel, un département pourtant riche à bien des égards.
Depuis 2 ans, il a dû y avoir un sacré gâchis, dans tous ces CHG.
Dans celui que j’ai quitté, ils ont bazardé tous les patients des unités de médecine, pneumo, cardio, endocrino, au Moyen et Long séjour, où il n’y avait au départ que des soins palliatifs et de la gériatrie, pour ne garder que les cas Covid, résultat : contamination au Covid là-bas aussi, des ex-collègues et un des gériatres du centre ont chopé le Covid long, certains n’ont pas repris, ou sont en mi-temps thérapeutique (« les congés/vacances » sans doute, plus, ceux interdits de bosser pour cause de non-vaccination ou qui se sont cassés, écœurés), mais vu la façon dont ils avaient déjà géré une simple épidémie de gale en 2008, c’était à prévoir.
Je croise les doigts pour votre année 2022, en tant que patient éclairé, certes, mais quand même dépendant des instances médicales et de leur organisation de plus en plus désorganisée, souvent indépendamment de leur volonté d’ailleurs, tout ceci n’est que l’aboutissement d’une crise larvée depuis 10 ans et qui explose maintenant au grand jour, avec ces hospitalisations Covid.
Et je vais quand même vous souhaiter qu’elle soit la meilleure possible, dans tous les domaines, parce que c’est un peu comme pour la météo, il y a parfois de bonnes surprises qui viennent contredire les sombres prévisions/prédictions ;-))…
Les greffes, c’est très très particulier, et en France c’est le pré carré des CHU, du moins d’après ce que j’ai compris à ce stade, sans avoir réellement creusé.
Pour les reins, par exemple, si deux organes sont récupérés à Nantes, l’un est « réservé » à ce CHU, et l’autre peut aller dans un autre CHU.
Ensuite, le CHU regarde dans sa « liste », normalement anonymisée, pour convoquer l’heureux élu en fonction de différents critères de compatibilité (notamment un appariement à l’âge).
Un département qui n’a pas de CHU est rattaché à un CHU voisin. Dans mon cas, c’est Nantes ou Angers. J’ai une nette préférence pour Nantes. D’ailleurs, l’inscription sur la liste ne se fait qu’après rencontre avec une équipe du CHU concerné.
Disons que 2021 se termine mal pour moi question suivi médical, et je sens que ça va être chaud pour 2022.
Dans tous les cas, je réintègre le « parcours greffe » (que j’avais bouclé avec succès hors RV au CHU, car mode « pause »*), mais ça commence déjà à dysfonctionner.
Je reste optimiste.
De toutes les manières, j’ai appris à lâcher prise et à vivre façon « carpe diem ».
* Heureusement, je n’ai pas tout à refaire.
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