Je l’ai trouvé là, au hasard d’une randonnée.
Caché dans son petit massif, au bord d’une rivière.
Il a l’air tranquille, heureux, en train de faire des trous avec sa bêche.
Il veut créer un petit potager, lui qui a quitté tous ses potes âgés.
Il était psychologue dans un EHPAD pour nains.
Il m’explique qu’une épidémie est arrivée.
Un coronainvirus que l’on a présenté comme très méchant.
Et tout est parti en vrille, dans la société comme dans son EHPAD.
Il était sur tous les fronts, à soutenir les soignants comme les résidents.
Le personnel a été stigmatisé avec des tests nainsopharyngés intrusifs.
Les nains âgés qui toussaient ont été « soulagés » avec des injections de Rivotril.
Tout le monde venait le consulter, lui, le psychologue.
Mais l’humain, même nain, a ses limites, et il se sentait aussi en danger.
Comment soutenir ses congénères quand l’on sombre soi-même ?
Puis les nabots MPN du gouvernement ont imposé une « vaccination ».
Pour lui, ce serait une toute petite seringue, mais avec quoi dedans ?
On lui a parlé d’un produit BioNaineTech à ARN messager.
Mais rien de tout cela ne lui inspire confiance, et ce depuis le début.
Le groupe financier auquel appartient son EHPAD lui a signifié sa mise à pied.
C’est pour le 15 septembre, s’il ne peut justifier d’une première « dose ».
Alors il a pris la décision de sa vie, celle de tout plaquer.
Au volant blanc de sa petite voiture, et il a foncé, le nez et la barbe au vent.
Puis, dans ce coin tranquille au bord de l’eau, il a vu ce massif de l’avenue Aliénor d’Aquitaine.
Il a décidé de planquer son véhicule diesel qui sera de toutes les manières bientôt interdit de rouler.
Et il s’est installé pour engager une nouvelle vie, libre et sereine.
Comme la vie est souvent bien faite quand l’on sait prendre les bonnes décisions, il s’est trouvé un ami.
En effet, dans ce massif, il y avait un petit animal qui avait fui un lapinovirus, une autre « épidémie » opportune.
À deux, ils vont entamer une belle cohabitation, loin du stress et de la mascarade généralisée.
Et comme ils m’ont trouvé sympa, ils m’ont donné l’autorisation de publier quelques photos…
Bien sûr, à l’unique condition de cacher leurs coordonnées GPS.
© PF/Grinçant.com (2021)
Les plantes sont des célosies plumeuses :-)
Avec des œillets d’Inde.
Dans le cas où je devrais fuir/m’exiler, j’irais en Suède pour deux raisons essentielles :
1/ Coronavirus : où en est la Suède, ce pays qui a fait le pari de ne pas instaurer de confinement ? (Europe1.fr — Par Victor Dhollande-Monnier, le 17/03/2021)
2/ La Suède officiellement élue « Plus beau pays du monde » (MediaMass.net — Par Angéla Morel, le 25/09/2021)
« Lorsque plus tard, las de souffrir
Pour renaître ou pour en finir,
J’ai voulu m’exiler de France (…) »
Alfred de Musset (1810-1857), Poésies nouvelles, « Nuit de décembre »
Moi, ce serait sur la base de ce critère figurant dans la liste de votre deuxième article en lien :
— « Femmes les plus ravissantes : les Suédoises »
;-)
Bien mignon cet article, et des photos joliment colorées qui mettent en joie malgré le contexte actuel.
La Suède me séduit et me tente depuis un bon moment, en fait depuis ma découverte des polars d’Henning Mankell et de son héros récurrent et ô combien attachant, l’inspecteur Kurt Wallander, magistralement interprété, pour la version télévisée britannique, par Kenneth Branagh, mais j’aime bien aussi la version suédoise avec Krister Henriksson dans le rôle-titre.
Pour les amoureux de la nature, la Suède est un endroit idéal, et la Scanie, l’endroit où vit Wallander, est une espèce de Provence à la suédoise, avec ses étés très chauds, mais courts, on ne peut pas tout avoir…
Reste que la vie y est assez chère, le logement ultra difficile à trouver, surtout en location, mieux vaut avoir une bonne retraite au-dessus de 3 000 € ou un bon salaire, mais chez eux, comme en Allemagne et les pays nordiques, en général, ils sont de toutes les manières bien supérieurs aux salaires français pour un même poste.
Pour les plus belles femmes, même si les clichés ont la vie dure, les Suédoises sont maintenant dépassées par les Russes, au tempérament plus volcanique autant que romantique, l’âme slave sans doute, et les belles et brûlantes Italiennes, toujours si chics même dans la vie ordinaire de tous les jours. Pour ceux qui aiment majoritairement les brunes, elles sont en passe d’être supplantées par les magnifiques Indiennes aux grands yeux de velours, aux chevelures soyeuses et à la peau ambrée, oui, çà fait rêver…
Après, tout est affaire de goûts et de couleurs, mais pas besoin de s’exiler pour autant, avec l’Europe et la mondialisation, « l’exotisme » est chez nous aussi :-))
Moi, hier, j’étais en randonnée avec une Laponne ;-P
Le plus chiant, c’est le renne à trimballer.
Ravissante chapka, pour la Laponne, de quoi rendre verte de jalousie la Capitaine Marleau ;-D
Et pour le renne, ma foi, il pourrait bien vous être utile, à tirer la voiture, si celle-ci, par un malheureux hasard, venait à tomber en panne…
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