AVERTISSEMENT : Ce billet date de plus d'un an.
Confiné par des cons finis.
Dans un pays où tout l’essentiel, le vital, manque, ou presque.
Les masques, le gel hydroalcoolique, les tests RT-PCR SARS-CoV-2.
Cinquième jour de confinement.
Premier week-end de confinement.
Mais deuxième jour du printemps.
J’ai encore rempli mon formulaire dérogatoire.
Je m’autorise (encore) à sortir.
Pour des raisons de santé.
Pour maintenir un minimum de forme.
Hier, c’était 965 mètres, aujourd’hui il y en aura 1 620.
Un peu de lâcher-prise, et quelques photos.
Un confiné ? Le canard ricane !
Comme des barreaux, mais de Mère Nature
Quelques scènes champêtres pour déconfiner
Un chat déconfiné regarde un confiné déconfit
Des pétales confinés en l’air, et une abeille libre
Des pétales confinés à terre
Fleurs confinées sur un tronc confiné
Coin bucolique pour confinement
Couple en confinement
Têtes de confinés, cinquième jour
Vignette : « Regard compatissant. »
© PF/Grinçant.com (2020)
Ce billet est exquis en cette période douloureuse, angoissante, incertaine dont on a oublié la beauté de la nature, le zéphyr du printemps après l’aquilon hivernal.
C’est un baume de fraîcheur à défaut d’être un remède universel à TOUS les maux.
« (…) un remède universel à tous les maux, un baume qui les adoucit (…) »
Bossuet (Jacques Bénigne) 1627-1704, Oraison funèbre de Marie-Thérèse.
Merci. :)
Du coup, j’ai ajouté le tag “Poésie », que j’avais oublié.
Les commentaires sont fermés.