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Grandes surfaces, déprime et prime à la petite surface

AVERTISSEMENT : Ce billet date de plus d'un an.

— Vous avez la carte de fidélité du magasin ?
— Non, je suis infidèle, surtout dans ce domaine !
— Vous voulez un bon « Reine des neiges » ?
— C’est qui celle-là ?
Échange de sourires avec la jeune caissière.
C’était ce matin, dimanche, dans un Carrefour que je boycottais pourtant avant.
Mais je sais le personnel en danger, et il est — curieusement — plus empathique/sympathique qu’avant…
Le magasin n’est pas vraiment agréable, mais il reste (grand) « supermarché ».

Avant, j’allais au « petit Leclerc », catégorie « supermarché »…
Mais ils le transforment en (gigantesque) hypermarché !
Alors, quand je vais chez Leclerc, je vais maintenant au « grand Leclerc », un deuxième hypermarché de l’enseigne, qui va donc devenir le « petit Leclerc » de la ville.

L’Hyper U ? Il est tellement glauque que je m’y sens mal dès que j’y entre, alors je vais aussi au Super U le plus proche, histoire de trouver certains produits.

Les deux Lidl ? J’ai eu ma période en allant au « petit », mais je suis sevré/vacciné !

J’ai découvert qu’il y avait un magasin Noz dans la ville, mais ça ne me tente pas du tout.

Le Leader Price ? Comme Noz, mais j’y suis entré une fois, et j’en suis ressorti sans rien acheter tellement ça me déprimait.

L’Intermarché ? Catégorie « supermarché »… Combien de fois y suis-je allé pour des « promos catalogue », mais toujours absentes des rayons ?! Alors c’est fini, sauf besoin absolu !

Et zut, j’ai oublié d’acheter des cacahuètes !
Sont encore ouverts Carrefour, Intermarché et Super U… Je vais où ?
Eh bien, je vais m’en passer !

© PF/Grinçant.com (2019)

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6 commentaires sur “Grandes surfaces, déprime et prime à la petite surface”

  1. Avatar photo

    Est ce que vous avez un marché dans votre coin ? C’est souvent là qu’on fait les affaires les plus intéressantes, en textile comme en alimentation, et ce n’est jamais glauque.

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      Oui, il y a des « halles » pas loin. Elles sortent d’ailleurs de « grands travaux » qui ont provoqué une grosse perte de fréquentation, sans même parler du problème habituel du parking en centre-ville.
      Le problème, c’est que, lorsque j’observe mes « paniers » — je ne prends presque jamais de chariot —, beaucoup de produits y sont introuvables. Il y a bien une supérette à côté (U Express), mais les prix y sont prohibitifs. Il faudrait que je révise totalement mes « habitudes » d’achat…
      En attendant, je m’observe dans mes « pérégrinations »… ;-)

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    ça fait bientôt 2 ans qu’on ne va plus au super ni à l’hyper ni au contact marché (sauf exception désespérée)
    on va plutôt au marché (le vrai) ou chez le producteurs, c’est bien meilleur, souvent moins cher et beaucoup plus sympa!

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      Comme je viens de répondre à Josie, il faudrait que je bouleverse mes « habitudes » d’achat. À envisager, en effet.
      Fréquenter la grande distribution me permet cependant de la… critiquer régulièrement !;-)
      Pour le pain, par exemple, je fréquente souvent un « vrai » boulanger (bio), mais c’est plus par gourmandise compte tenu des prix pratiqués : Ça se mange comme du gâteau

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        Si la boulangerie est chère vous pourriez vous lancer dans une expérience de panification et nous tenir informés par billet :)

        Le levain boulanger est un être vivant qui se conserve au chaud et se nourrit d’un peu de farine. Un pain fermente jusqu’à 48 heures, au bout de deux jours les levures ont mangé le gluten. On fait cuire ensuite au four en n’oubliant pas de mettre un ramequin d’eau.

        Question révolution habitudes d’achat il y a aussi de très bonnes épiceries bio en ligne qui livrent à domicile.

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          Je pense que concurrencer leur pain — surtout ce fameux “Québécois” — serait hors de ma portée.
          Remarquez, je suis assez content de mes pizzas « prêtes à cuire » — la Végétarienne ou l’Indienne (avec de l’ananas) — du rayon « traiteur » de Leclerc, justement, lorsque je les sors du four… ;-)

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