AVERTISSEMENT : Ce billet date de plus d'un an.
Allez, je limite les vidéos externes ici, mais je vais faire une exception.
Après avoir répondu à un commentaire sur les ATD, on m’a fait découvrir un petit bijou d’animation que je m’empresse de vous faire découvrir à mon tour.
Presque un Copier/Coller ou un Transmettre/Transférer.
Et ça tombe bien, puisque dans ce film « Alike », d’origine espagnole, le père se prénomme Copi, et son fils Paste.
C’est mignon tout plein, musique comprise, et le message colle parfaitement avec des idées et principes de Grinçant, même si le ton et le style sont bien différents ;-)
Merci aux auteurs, Daniel Martínez Lara & Rafa Cano Méndez.
© PF/Grinçant.com (2017)
Très beau film. Ça me touche particulièrement, car j’ai un fils de cet âge.
D’un côté, vous souhaitez qu’il soit heureux et qu’il s’épanouisse, mais de l’autre vous savez que son futur d’adulte va être conditionné par ses résultats scolaires (encore que je ne vis plus en France, et ici c’est moins déterministe).
Notez que ce film nous vient d’Espagne.
Mais il va bien au-delà, me semble-t-il, question société.
En vous lisant, j’ai attaqué votre deuxième paragraphe comme le ferait un politique :
« D’un côté, vous souhaitez qu’il soit peureux et qu’il s’évanouisse,… » ;-)
Notez qu’il n’y a pas une seule femme (mais il y en a au générique)…
Ni même de téléphone portable/de smartphone (donc pas de Pokémon Go)…
Inspiration kafkaïenne, avec un brin de verdure et d’espoir ?
Allez, je me le repasse ;-)
Édit 08h05 : Revu (et pas corrigé). Oui, mignon tout plein, et vraiment plein de sens ;-)
Pitié avec ces discours MLF où il faut un quota de femmes partout (en allemand c’est terrible, ils se sentent obligés de mettre /in partout (la marque du féminin en allemand est « in »). En France, heureusement, on a juste l’extrême gauche qui s’amuse à ajouter -e partout (ce qui permet de repérer tout de suite leurs textes).
Si on en revient au film, l’enfant peut tout à fait être une fille. C’est votre déformation machiste qui en fait un garçon ;-))))
Pas de « déformation », j’anticipe simplement d’éventuelles remarques.
Je ne parle pas de l’enfant, mais de tous les « gens » que l’on voit défiler… Pas une seule femme !
Ce petit film est subtil, et c’est un choix, tout comme le « jeu » sur les « couleurs »…
Pour le « -e », je le fais souvent, car ça a du sens, sans se positionner pour autant politiquement.
Par exemple, quand je parle d’actions dégueulasses, comme les ATD, je veux ainsi rappeler qu’il y a des femmes qui s’y collent… :-/
Les commentaires sont fermés.