Voilà quelque temps, j’ai regardé un documentaire* sur la banane, le fruit le plus consommé au monde.
Il y était notamment question de la « banane dollar », produite en Amérique latine, dans des conditions de travail terrifiantes, pour le compte de multinationales nord-américaines (Chiquita, Dole, Del Monte).
Du petit personnel de plantation payé au lance-banane, croulant à longueur de journée sous des charges lourdes, et baignant dans un smog de produits agrotoxiques/hypertoxiques.
Le genre de reportage qui vous laisse sur le cul et vous fait dire « Bon, encore un truc de moins à bouffer ».
Certes, il y a des bananes soi-disant « Bio », mais il faut les trouver.
Et d’autres qui viennent d’Afrique ou des Antilles, supposées plus fréquentables, car pas « Dollar ».
L’enquête apportait cependant une information rassurante : ils avaient fait procéder à des analyses*, et les produits de traitement ne pénétreraient pas à l’intérieur du fruit !
La magie de la peau de banane, barrière infranchissable !!!
Alors, régulièrement, depuis, j’achète des bananes, me disant qu’il ne faut surtout pas manger la peau ;-)
En plus, je privilégie celles dûment estampillées « Guadeloupe — Martinique », même si une étiquette est vite collée.
Et quand elles sont marquées « Bio », avec un delta de prix correct, le choix est vite fait…
Voilà une quinzaine de jours, il y avait une promotion sur les bananes.
Elles étaient dans des cartons, par “grappes”, avec un sac plastique intérieur, puis des séparations en papier.
Je m’étais orienté vers un carton non entamé, et j’ai ouvert la grande poche intérieure.
Et là, des odeurs fortement chimiques m’ont immédiatement sauté au visage, m’envahissant le nez, la bouche et la gorge.
J’ai immédiatement reculé, et abandonné l’idée d’acheter des bananes ce jour-là, et même pour les jours suivants.
Puis, en désespérance face à ce que l’on nous vend le plus souvent au rayon fruits, je me suis mis à en racheter, toujours « Guadeloupe – Martinique », chaque “grappe” étant emballée dans un sachet avec une étiquette individuelle, qui ne mentionne d’ailleurs aucun « traitement ».
Ce genre d’achat n’est pas simple, car elles viennent de « mûrisseries » implantées en France, et sont livrées à différents stades, de visiblement vertes à mûres/à point, voire « tapées ».
Récemment, je suis tombé sur des monstres, des bananes à 225 grammes la bête quand mes petites « bios » pèsent très exactement la moitié…
J’en ai mangé une dès l’achat, et j’ai trouvé la chose farineuse, pâteuse, sans vrai goût ni intérêt.
J’ai donc laissé les autres mûrir un peu, dans une grande assiette blanche à leur mesure, pour mieux voir le jaune passer au noir.
Et, ce matin, je me suis dit qu’il serait dommage de jeter et qu’il valait mieux les consommer…
Déjà, j’ai observé que la peau s’était affinée, et qu’elle devenait fragile, très fragile, fine, très fine.
Par précaution, j’ai prélevé un fruit avec une paire de ciseaux.
Et aussitôt, un lambeau est quand même parti.
Pourtant, sous la peau, le fruit a gardé sa couleur, il ne semble pas « tapé », et puis même, normalement, c’est mangeable !
Sauf que là, c’était encore plus farineux et pâteux.
Et surtout, l’odeur infâme et infecte, devenue goût-saveur mortifère, qui m’avait fait fuir les bananes dans le magasin précédent, m’a aussitôt agressé le palais.
Ce que je tentais de manger n’était pas du fruit, mais du produit phytosanitaire presque pur, c’était évident.
J’ai abandonné à la moitié tant cela était immangeable et suspect.
Les trois restantes passeront au banc photo avant de rejoindre la poubelle.
Quant à savoir si la peau protège bien le fruit de tous les produits dont on pulvérise bananes, bananiers et récolteurs-cueilleurs, je ne me pose même plus la question, je pense avoir ma réponse !…
Vignette : « De quoi vous mettre au régime toxique » © PF/Grinçant.com (2016)
© PF/Grinçant.com (2016)
*Extrait du documentaire « Hold-up sur la banane », de François Cardona, diffusé le 29 mai 2016 sur France 5…
Notez quand même l’utilisation du conditionnel, ainsi que le nom des pesticides qui figurent sur la fiche d’analyse : Azoxystrobine, Fenpropimorphe & Myclobutanile…
– Extrait de citation (1:31), en rapport direct avec le billet –
Des Brèves récentes en rapport :
16h00 : Édition du billet (publié à 13h51) avec ajout d’un extrait vidéo du documentaire « Hold-up sur la banane », passage concernant les résultats quant à la recherche d’agrotoxiques.
A votre avis, c’est pour cela que Joséphine Bayer s’en était fait une ceinture ??
Je pense que vous vouliez parler de Joséphine Baker ;-)
Par contre, le lapsus (volontaire ?) en dit long, et il est plutôt bienvenu, car Bayer, le chimiquier qui vient de racheter Monsanto (les OGM), doit être impliqué dans le caractère mortifère de la banane.
Je rappelle les produits mentionnés sur la fiche d’analyses du documentaire : Azoxystrobine, Fenpropimorphe, Myclobutanile…
Avec des quantités effroyables balancées sur la gueule des « ouvriers agricoles »…
Mais bon, le consommateur ne courrait aucun risque grâce à la peau « épaisse », barrière soi-disant infranchissable. Sauf que mon expérience m’a convaincu du contraire :-/
Alors, je voulais dire à cette charmante personne qu’il ne fallait surtout pas acheter des bananes de Guadeloupe et Martinique car j’ai vu un documentaire : le sol est gorgé d’un pesticide cancérigène suite à une « désinfection » du sol pour y planter des bananiers, et lui faudra plus de 100 ans pour que le sol redevienne sain.
Alors j’achète des bananes de l’Équateur, d’Afrique ou autre, mais c’est comme tout, ça devient difficile de manger quelque chose de correct et on se plaint qu’il y ait autant de cancers. ON SE FICHE DE NOUS !
Pour ma part, j’ai adopté un comportement simplissime : plus aucune banane dans mon alimentation !
Si j’en achète, elles seront bien pourries, et elles accompagneront des tomates — OGM bien sûr — pour les jeter sur des « politiques ».
Il est complètement nul votre article… Vous ne parlez que de votre sensibilité à l’odeur, il n’y a rien de scientifique.
Par ailleurs les bio ont souvent moins d’odeur parce qu’elles sont cueillies moins mûres que les non bio. Elles ont d’ailleurs majoritairement moins de goût. Les bananes sont lavées avant d’être mise sur le marché et même si je gage que les pesticides restent (si ce n’est pas dans la chair… ce dont, comme vous, je doute) au moins dans la peau, elles ne présentent pas d’autres odeurs que la banane et notamment la banane mûre qui a une odeur forte et peut effectivement faire penser à un produit chimique.
Pour ma part j’ai travaillé en grande distribution spécialisée dans les produits frais et effectivement les bananes bio sentaient moins car plus vertes à la sortie du carton. mais elles avaient la même odeur.
Je suis arrivé sur votre article en pensant trouver une réelle étude scientifique sur la présence de pesticide dans la chair de banane et je me suis retrouvé à lire l’histoire d’une personne qui raconte sa vie et pratique de la désinformation sans le moindre bout d’étude intéressante. Et d’ailleurs, comment être sûr que les « grosses » bananes que vous citez ne sont pas tout simplement des bananes plantains…
Quand des odeurs chimiques vous sautent à la gorge/gueule à ce point, pas besoin d’analyses scientifiques.
Par ailleurs, d’emblée, je positionne un documentaire ainsi : « …et baignant dans un smog de produits agrotoxiques/hypertoxiques. »
De la désinformation ? Je pense plutôt qu’elle vient de votre côté !
Allez donc lire les « médias » aux ordres des lobbies (cf. « banane dollar », cela vous conviendra visiblement mieux.
Encore un troll, qui ne prend pas le temps d’aller visionner le reportage « Hold up sur la banane »… je suis du même avis que Grinçant.com. Les bananes m’interpellent par leur goût et leur odeur… Maintenant, vous le TROLL qui venez nous demander de la preuve par l’étude scientifique… AHAHAH, vous êtes sérieux ? Parce que les études sont payées par qui ??? Faites confiance à votre nez et votre palais… votre santé ne s’en portera que mieux…
Sur ce, continuez à manger de la merde produite par des multinationales de merde qui ne misent que sur l’exploitation et non sur l’humain…
Il y a de fortes chances pour que ce genre de « troll » émane de la filière/du lobby.
Je n’ai quasiment jamais vu des « acteurs » concernés venir s’exprimer à visage découvert/ès qualités sur ce blog.
Les bananes n’ont plus de goût et sont farineuses et pâteuses. Où sont passées les bananes croustillantes et fermes quand elles sont vertes et qui deviennent juteuses et goûteuses, une fois devenues mûres ?
Hmm, j’avais raté cet article et son constat.
Passons sur les propos de JeremB, un « touriste » juste venu déverser sa bile fort de son expérience dans la grande distribution — qui, au vu des scandales qui émaillent les produits vendus dans ces temples de la malbouffe. Question crédibilité, JeremB s’est fourvoyé. Bon, d’un autre côté il ne repassera sans doute jamais.
En gros, il a posé sa mer.., s’est barré tel un malpropre, et en plus engueule le « taulier » parce que le papier était pas assez doux pour son goût.
Diantre, y’a des paires de gifles qui se perdent !
Pour en revenir sur votre sujet, rien d’étonnant pour vos bananes « odorantes ».
Je me garderai des bananes des Antilles, tout comme celles estampillées « dollars », elles sont majoritairement aussi pourries.
Certes, ce ne sont pas les mêmes produits infâmes, mais je vous invite à regarder « Chlordécone », vous allez recracher vos bananes antillaises fissa.
En bio, certes, pas de traitements, mais les bananiers sont quand même dans des zones où la suspicion de contamination par le sol ou issue des eaux de ruissellement interpelleront quant au caractère « neutre » de ces fruits.
Je mange très peu de bananes pour ma part, et lorsque tel est le cas il faut savoir que le bassin méditerranéen en produit aussi, ce qui évite de faire faire 10 000 km à mes bananes qui, du coup, n’ont pas besoin d’être cueillies vertes pour murir sous les ultraviolets ou les gaz divers des chambres froides.
Ma préférence, depuis une douzaine d’années, va pour la banane de Crête que j’avais découverte lors d’un séjour.
La côte Sud de la Crête recevant plus de 300 jours de soleil par an, cette terre convient fort bien aux bananes, sans parler de l’humidité due aux entrées maritimes balayant cette île.
Certes, elle n’est pas toujours facile à trouver (du coup, lorsque j’en vois, je me jette dessus), elle existe pourtant et devrait vous réconcilier avec ce fruit hautement performant, mais à choisir avec précaution ;)
Merci pour votre aimable message, Flavien, et comme vous le dites si bien (quoique bien mal écrit), il y a effectivement des paires de gifles qui se perdent.
Ce n’est pas parce que j’ai travaillé par le passé dans la grande distribution que je suis actionnaire ou parti prenant. Et je ne nie absolument pas la présence de pesticide dans les bananes, et c’est d’ailleurs la recherche qui m’avait amené ici. Ce que je décris, c’est la pauvreté de cet article qui n’apporte absolument rien de plus que le contenu d’un journal intime d’une personne lambda. Il n’y a aucune étude, rien… Juste un sentiment très personnel potentiellement complètement fantasmé.
Mais continuons dans le fantasme, si vous le souhaitez, avec vos bananes de Crête que personne ne trouvera jamais puisqu’elle ne figure même pas parmi les 15 pays producteurs connus et représentant 100 % de la production mondiale selon Wikipédia. Attention, là encore, je ne nie pas que vos bananes existent, je dis simplement qu’elles sont tellement marginales que personne ne pourra les trouver… Votre message ressemble légèrement à un message de bobo prétentieux qui n’apporte absolument rien à la discussion, mais permet sans doute de vous mettre un petit peu en avant.
Bref, je cherche encore un article référençant une vraie étude sur le contenu en pesticide de la chair des bananes.
« (quoique bien mal écrit) »
Je me suis aussi permis d’apporter quelques corrections syntaxiques/orthographiques à votre texte, comme m’y autorisent mes CGU.
Je vois que vous faites toujours dans l’aigreur…
Quant à « une vraie étude », ici c’est un blog qui affiche la couleur, et pas le site d’un institut de recherche ou d’une association « consumériste »…
Oui, des « contributeurs » comme cela, il y en a parfois, et ils laissent une drôle d’odeur derrière eux, un peu comme ces bananes.
De mon côté, j’ai complètement arrêté avec ce fruit, à force de les voir noircir, se rabougrir, devenir pâteuses/immangeables, et de me résoudre à les jeter pour ne pas faire sauter à la poêle un concentré de produits hautement toxiques.
Pour la banane de Crête, je ne connaissais pas… Si j’en trouve, je vais tenter l’expérience… Merci du tuyau ;¬)
Bonjour.
Je vous fais remarquer que la banane, même plantée sur un sol sain, une fois mûre, finira exactement comme ça. Peau qui se noircie, qu’on ne peut détacher et pas mangeable au final. Il faut juste la manger et ne pas trop attendre.
Pour finir, la quasi-totalité des bananes en production de masse se fait sur des sols pollués à vie, par des produits hautement toxiques.
Pour la peau qui devient noire et plus fine, je suis bien d’accord.
Par contre, là je parle de la texture, et surtout de l’odeur — chimique — qui sortait vraiment de l’ordinaire.
Je vais apporter mon témoignage sur la banane avec des liens à la Réunion et à Maurice. Les bananiers ne sont pas exempts de nouvelles maladies issues de champignons ou autres. Quand la « maladie » touche le bananier, cela se voit, mais avec le temps cette « maladie » peut venir diminuer/altérer le fruit lui-même, surtout pour la conservation. Quand on sait que la banane antillaise met trois semaines pour rejoindre l’hexagone par bateau, puis doit être acheminée sur les étals ou conservée en stockage avant d’être vendue/achetée par le consommateur, comme la banane n’est pas « vaccinée » contre les bactéries/maladies des fruits et légumes, mais que des produits doivent être mis pour retarder la maturation ou « protéger » le fruit d’insectes ou autres, la banane et le bananier sont exposés à « l’ennemi » imprévisible/inconnu/invisible.
Pour faire court, et pour en savoir plus sur la banane et ses problèmes phytopathologiques de l’Océan Indien restreint sur Maurice et la Réunion, voici quatre liens apportant des précisions ou faisant part des problèmes liés à la banane :
– Maurice : Les bananes mauriciennes en plein marasme (Zinfos974.com — Le 09/12/2015)
— Un mystérieux champignon attaque les bananes (clicanoo.re — Le 01/06/2016)
– La banane péï ne prendra pas la relève après l’ouragan Maria (Zinfos974.com — Le 25/09/2017)
— Maladie des « raies noires » : Un premier bananier infecté à La Réunion (Zinfos974.com — Le 20/07/2019)
Ceci afin de ne pas glisser sur une peau de banane.
Locution figurée. Peau de banane : procédé déloyal destiné à « faire tomber » quelqu’un.
Si la banane n’est pas vaccinée, moi je suis vacciné contre les bananes.
Je constate que je n’en consomme plus du tout.
@JeremB
C’est beau le suivi des messages, au moins ça vous a permis de revenir ;)
Vous vous focalisez sur le traitement du billet de @PF pour le qualifier de : « Ce que je décris, c’est la pauvreté de cet article qui n’apporte absolument rien de plus que le contenu d’un journal intime d’une personne lambda. Il n’y a aucune étude, rien… Juste un sentiment très personnel potentiellement complètement fantasmé. » (sic)
Vous qui semblez manifestement soucieux des sources et études, vu vos références à « Wikipédia », il ne vous aura donc pas échappé que @PF a mis un lien et une vidéo expliquant JUSTEMENT le problème qu’il soulève.
Votre diatribe à son encontre montre que vous n’avez rien compris à ce blog, à son fonctionnement, ni à sa méthode d’information et d’échange.
@PF appréciera et vous fera surement une réponse circonstanciée plus précise que celle qu’il vous a déjà faite ce me semble.
Concernant les qualificatifs que vous me donnez, je n’ai rien à ajouter puisque je n’ai nullement envie de débattre plus avant avec vous, vos assertions à mon endroit m’ayant toutefois bien fait rire.
Comme vous semblez être à la recherche de sources vous devriez vous orienter vers le site de « Reporterre », et ça vous évitera ainsi d’écrire « vos bananes de Crête que personne ne trouvera jamais puisqu’elle ne figure même pas parmi les 15 pays producteurs connus et représentant 100 % de la production mondiale selon Wikipédia. (…) personne ne pourra les trouver ». (sic)
Donc, selon vous et votre Bible Wikipédia, un pays qui n’est pas dans la liste des producteurs mondiaux, cela signifie qu’il n’y a donc pas de production ou de disponibilité du produit ; c’est votre droit, toutefois vous serez sans doute surpris de trouver — par exemple — du caviar français (c’est pour vous conforter dans votre catégorisation à mon endroit, lol), du whisky français, et tant d’autres denrées d’autres pays, certes indisponibles dans les GMS qui sont affiliées aux grands groupes alimentaires.
Ces mêmes GMS qui, en accord avec les semenciers, s’emploient à mettre des bâtons dans les roues à tous les producteurs de manière à limiter le nombre de variétés disponibles et les circuits de commercialisation, je vous laisse imaginer pourquoi.
Vous avez peut-être quitté la GMS, mais, a priori, pas totalement sa vision ni son mode de fonctionnement.
Pour conclure :
– Pour votre recherche, « je cherche encore un article référençant une vraie étude sur le contenu en pesticide de la chair des banane » (sic)
Vous ne devez pas avoir cherché de manière pertinente, car rien que le site de la DGCCRF vous aurait appris que la banane porte des traces de résidus de pesticides dans 60 % des échantillons testés.
Pour des études plus poussées je vous laisse faire vos recherches, car comme dit un adage « quand on veut, on peut », et des études, il en existe, mais pas sur Wikipédia c’est clair. ;)
Voilà, pour ma part échange clos avec vous.
PS : « GMS » pour « Grandes et Moyennes Surfaces », en référence au secteur de la « Grande distribution »…
Pour ma « réponse circonstanciée », j’ai fait court, trouvant très bien la vôtre. ;¬)
Moi j’aime bien les bananes, c’est pass’que y’a pas d’os dedans !
C’est bon, je sors —-> {} :D
Sinon, je voudrais pas ramener ma fraise dans cette histoire de banane sinon on va se foutre de ma poire, mais tous les fruits dégagent de l’éthylène en murissant (c’est du reste précisément le gaz qui est utilisé dans les mûrisseries) et ça pue la chimie. Au passage, c’est un produit de base d’énormément de sous-produits issus de la chimie.
Alors, bien sûr, je remets pas en cause cette odeur chimique (très probablement ça) mais franchement, de nos jours, qu’est-ce qui est pas pourri de produits pas bien clairs ? Je ne cherche pas à justifier ou à dédouaner nos empoisonneurs mais, étant un infâme complotiste, je crois fermement aux traînées chimiques par simple passion de tout ce qui vole et en recoupement avec Flight Radar 24 et MES observations sont affligeantes, désespérantes, révoltantes : on s’en prend plein la gueule, bio ou pas bio ! Je vais pas développer ici comment ce délire est financé mais c’est pas bien clean tout ça !
Et là c’est pas à l’échelle d’une île qui a pourri son sol pour des centaines d’années, non non, c’est autrement plus grandiose !
Seulement, c’est pas vrai, c’est un complot…
PS : pour conserver assez longtemps des bananes, il faut soigneusement les emballer dans un sac plastoc étanche pour empêcher le dégagement d’éthylène qui se produit, si je ne dis pas de couennerie par l’oxydation de la peau et la mettre au frigo, on gagne tranquille une dizaine de jours…
Non, mais là c’était saisissant, il y avait un vrai problème avec ces « bananes ».
Depuis, c’est simple, je n’en consomme quasiment plus (sauf dernièrement, sur une tarte « exotique »). Déjà que j’avais mis du temps à m’y mettre…
Concernant les chemtrails — j’imagine que c’est (notamment) une allusion à ça —, c’est comme pour le Covid, pour se protéger, il suffit de porter… un masque !;-)
Non non, un masque sert à que dalle avec des nano particules qu’on s’est bien prises sur la tronche depuis ce matin :(
J’ai ma dispense de port du masque ! ;-)
Je suis plus qu’un convaincu, je suis un acharné !
Plus je lis ce blog, plus j’adhère :)
Faut que je fasse gaffe à l’addiction, hein !!!
Oui, les addictions c’est rarement bon.
Mais là, ça peut se défendre.
Article du 10/04/2021 qui m’a été signalé en « Off » par un fidèle lecteur (Pamphlétaire) : Pollution au chlordécone : en Martinique et en Guadeloupe, les ouvriers agricoles “empoisonnés” réclament “la justice”
Dans son mail, il me pose la question : « Est-ce que cela a un rapport avec votre article et êtes-vous au courant ? »
Non, je n’avais pas connaissance de cet article tout frais (contrairement aux bananes de la mort).
Et, oui, bien sûr que ça a un lien, et je pense que cela nous concerne jusque dans nos magasins où ces produits toxiques nous agressent également rien qu’en passant à proximité d’un étal. :-/
J’ai lu l’article sur mon smartphone concernant le « chlordécone » et je l’ai transmis à PF. Je viens de regarder de plus près le « chlordécone » que je ne connaissais pas il y a 24 heures. À la lecture sur Wikipédia de cet « insecticide organochloré toxique, écotoxique et persistant » (https://fr.wikipedia.org/wiki/Chlordécone), j’ai été glacé/putréfié. Un produit dangereux, toxique et persistant avec une « vie » de 250 à 650 ans dans les sols contaminés. Moi qui est passé 15 jours de vacances en Martinique en 1986, je n’en ai jamais entendu parlé…
Un article de décembre 2011 concernant des légumes arrivés en France (http://seaus.free.fr/spip.php?article11).
Le DTT tant décrié est presque un gentil « ennemi » comparé à cette merde! (https://npa45.org/2018/06/10/le-chlordecone-pesticide-ultra-toxique-les-antilles-nature-et-humains-empoisonnees-pour-des-generations/).
Je commence une mauvaise journée avec ce que je viens d’ingurgiter en lecture, et ce n’est qu’une petite partie…
Certainement bien plus dangereux que le Covid-19, mais on laisse faire.
La Martinique, « Record du monde de cancers de la prostate ».
Le 8 janvier 2019 à 19:14, @Flavien avait déjà mentionné/alerté par son commentaire le « chlordécone »… Je lui rends justice, car je viens de constater ce fait dans son commentaire…
Et afin qu’aucune statistique ne puisse être effectuée sur ce produit fabriqué par l’humain, 17 années d’archives ont disparu des archives du ministère de l’Agriculture (1972-1989) : http://seaus.free.fr/spip.php?article1742.
Le Cameroun est cité comme destinataire du « chlordécone »… Privilégiez les absences d’achats de fruits, légumes et de tubercules de ces lieux que sont les Antilles et le Cameroun jusqu’à ce qu’on trouve d’autres pays où a été répandu le poison…
« Ah ! jette loin de toi ce philtre ! — Ma raison
S’égare. Arrête ! Hélas ! mon don Juan, ce poison
Est vivant ! ce poison dans le cœur fait éclore
Une hydre à mille dents qui ronge et qui dévore ! »
Hugo (Victor), 1802-1885, Hernani, V, 6.
Bon, c’est à mon tour d’être inquiet, je suis allé au Cameroun. :-/
C’était en 1986 si j’ai bonne mémoire.
J’étais même allé dans une plantation où j’avais été bouffé par les mout-mouts.
Je vais tenter de rehausser/ennoblir la banane qui est tombée bien bas dans cet article et par les commentaires, dont les miens, qui ont fait surgir/resurgir le chlordécone dans les remarques ci-avant.
Je ne vais pas faire une étude sur la banane dont il existe plus de 1 000 variétés, mais juste deux ou trois photos prises le jeudi 21 octobre 2021 sur mon terrain à la Réunion.
Des bananiers grands/hauts avec un petit régime de bananes qui fait ployer le bananier en raison de sa hauteur :
Un bananier de petite taille portant un régime volumineux faisant fléchir le pseudo-tronc :
Ces régimes sont inversement proportionnels à la taille du pseudo-tronc : plus le bananier est haut, moins le régime est volumineux.
Dans peu de temps, les régimes devraient être bons, prêts à être récoltés.
Je ne peux quitter sans laisser le lien vidéo d’une recette simple, rapide, d’une tarte à la banane : https://www.dailymotion.com/video/xnni6d
NB : Le beurre, je n’en mets point et la vanille « chimique » liquide fait bien l’affaire à défaut de la vraie vanille.
« Et politiquement, une république bananière est une république qui présente une apparence de démocratie mais qui est en fait régie par les intérêts privés de la prévarication (comme les régimes d’Amérique centrale dominés par de grandes sociétés agricoles) » — NB : j’ajouterai la France…
« On se croirait en plein roman policier dans une république bananière avec création de sociétés fictives, témoins douteux (…) » (Le Monde, 12 juil. 2000, p. 1)
Cependant, il y a quand même un truc qui cloche…
Le grand bananier produit des petits régimes de bananes…
Et le petit en fait un énorme quasiment insupportable pour lui…
En plus, j’apprends ce matin, par mail, une triste nouvelle : « Le grand bananier abattu ce matin, les bananes mûres et ont commencé à être mangées par les oiseux… »
Merci @Pamphlétaire,
pour ces photos ensoleillées qui honorent le climat réunionnais et réhabilitent la banane, un fruit bien intéressant d’un point de vue nutritionnel, ce serait dommage d’en rester privé, et qui peut se décliner de tant de manières délicieuses, pourquoi pas cette alléchante tarte…
En Inde il y a aussi des bananes, on en entend peu parler chez nous, je ne sais même pas si elles sont commercialisées dans nos pays occidentaux, mais ils utilisent également la fleur du bananier pour certaines recettes dite « Ayurvédiques », comme les Tahitiens, avec leur salade de fleurs de bananes. Pas encore essayées, vu la difficulté d’en trouver au Leclerc du coin, cependant il paraît qu’on peut les remplacer par du chou blanc cru (très présent en Vendée) ou, à la rigueur, de l’endive, mais çà fait tout de suite beaucoup moins exotique, moins tentant quoi ! En avez-vous déjà goûté ?
Où en est-on avec l’affaire du chlordécone, affaire « empoisonnante »/dérangeante pour l’État ?
Le chlordécone est le poison de tous les Antillais et on comprend mieux pourquoi ils sont remontés contre le pass vaccinal de l’État qui les prend pour des c… depuis 1972 !
Les sinistres de l’agriculture étaient au courant dont celui de 1972, un certain Chirac… mais chut :
Certains se sont battus/élevés contre ce produit. Des données ont été établies pendant des années puis ces données n’ont plus été trouvées pour être exploitées… chut !
http://seaus.free.fr/spip.php?article1857
Et le procureur de la ripoublique de Paris a entériné les plaintes pour prescription. Et pendant 14 ans qu’a-t-il fait ou ses prédécesseurs qu’ont-ils fait ?
Quand c’est un service de l’État qui semble être en cause, c’est classé « confidentiel défense », sinon c’est chut…
Locution prov. « La vérité sort de la bouche des enfants » : les enfants disent avec franchise et ingénuité ce que les adultes cachent, souvent pour obéir aux normes sociales.
Le titre de ce billet n’est pas encore éteint car nos dirigeants politiques actuels et passés en sont imprégnés de cette « merde du chlordécone » et ils en sont responsables de ce qui a été fait pour détourner l’attention, la vérité, supprimer les preuves…(lien de mon post du 12 avril 2021).
https://www.tf1info.fr/justice-faits-divers/scandale-du-chlordecone-aux-antilles-guadeloupe-martinique-la-justice-reconnait-des-negligences-fautives-de-l-etat-2224544.html
Et dans quelques mois, quelques années on va avoir droit à une répétition avec les « vaccins Covid »… Wait and see!
« Un vil amour du gain, infectant les esprits
De mensonges grossiers souilla tous les écrits (…) »
Boileau (Nicolas) dit Boileau-Despréaux, 1636-1711, l’Art poétique, IV.
« Des chercheurs qui cherchent, on en trouve. Des chercheurs qui trouvent, on en cherche. » (de Gaulle)
Quant aux fonctionnaires ou politiques, je cède ma plume à Bruno Masure :
« Après avoir fait une grosse connerie, le chat grimpe dans l’arbre. Et le fonctionnaire, dans la hiérarchie. »
« J’ai acheté la vérité dans les livres : je n’y ai trouvé que le mensonge et l’erreur. J’ai consulté les auteurs; je n’ai trouvé que des charlatans qui se font un jeu de tromper les hommes sans autre loi que leur intérêt, sans autre dieu que leur réputation (…) »
Rousseau (Jean-Jacques), 1712-1778, Lettre à M. de Beaumont, p. 471.
Le crime est reconnu par les juges concernant l’utilisation du poison dénommé le chlordécone mais la « justice » prononce un non-lieu…En conséquence les criminels du fabriquant aux politiques et fonctionnaires qui ont cautionné ce poison sont à l’abri des délits qu’ils ont commis ! (Voir mes précédents commentaires où des liens relatent ce scandale et ses étouffements par des moyens que la morale répugne.
https://la1ere.francetvinfo.fr/guadeloupe/chlordecone-le-crime-est-reconnu-mais-personne-ne-sera-condamne-1354874.html
« Avant-propos : Sans justice, il ne peut y avoir de démocratie. En veillant à l’application des lois, la justice garantit les droits de chacun. Ancrée dans ses principes fondateurs, tels l’égalité devant la loi, l’impartialité et l’indépendance, la justice a su s’adapter aux évolutions de la société. Une justice plus protectrice, plus accessible et plus proche des citoyens. » C’est beau quand c’est appliqué rationnellement. http://www.justice.gouv.fr/publication/plaquette_jef_organisation_fr.pdf
La France est un pays mafieu et corrompu (dont sa Justice)
https://blogs.mediapart.fr/jean63/blog/270316/la-france-est-un-pays-mafieu-et-corrompu-dont-sa-justice
« En vieillissant, on s’aperçoit que la vengeance est encore la forme la plus sûre de la justice. »
Henry BECQUE, Auteur dramatique français, (1837 – 1899).
Le scandale sanitaire du chlordécone a été une honte, une infamie depuis le début jusqu’à la fin du « procès oligarchique » où il est reconnu que cela a été une infraction, un délit, un empoisonnement, un crime mais un non-lieu arrête toute responsabilité des auteurs, co-auteurs et complices. Ils doivent glousser de satisfaction en se frottant les mains…
Le pénal ferme ses portes pour laisser la place aux poursuites civiles dont avec le temps écoulé les traces, indices ont disparu…
https://www.20minutes.fr/societe/4018872-20230114-chlordecone-depistage-salaries-agricoles-generalise-debut-fevrier
« Malheur au monde à cause des scandales ! Il est fatal, certes, qu’il arrive des scandales, mais malheur à l’homme par qui le scandale arrive ! »
Évangile selon saint Matthieu, XVIII, 7
« Ils* dînent du mensonge, et soupent du scandale. » (De la calomnie)
*les calomniateurs
Marie-Joseph Blaise de CHÉNIER poète, dramaturge et homme politique français, frère cadet du poète André Chénier, (Constantinople 1764-Paris 1811)
Un plan chlordécone IV avec 6 stratégies et un budget renforcé
Le nouveau plan chlordécone IV 2021-2027 comporte six stratégies permettant de couvrir l’ensemble des enjeux et priorités pour la population, dans le cadre d’une gouvernance interministérielle renforcée tant au niveau local que national, sous l’égide d’une directrice de projet chargée de la coordination interministérielle et travaillant en étroite collaboration avec les préfets et les présidents des collectivités territoriales.
Trois stratégies transversales pour une vision globale et un travail commun des acteurs sur :
– la « communication » pour mieux informer et sensibiliser tous les publics (grand public, consommateurs, travailleurs, professionnels de santé…) en vue de protéger la population ;
– la « recherche » pour renforcer les connaissances et les mettre en application sur le terrain ;
– la « formation et éducation » pour former dès le plus jeune âge mais aussi les professionnels.
https://sante.gouv.fr/sante-et-environnement/les-plans-nationaux-sante-environnement/article/le-plan-chlordecone-iv-2021-2027
Ce n’est pas un peu tard vue que le chlordécone a été interdit dans l’aire française?
« C’est le sort des familles désunies de se rencontrer uniquement aux enterrements. »
Michel AUDIARD (1920-1985)
C’est du truandage, de la fraude au plus haut niveau de l’État ainsi que dans les services qui sont intervenus dans cette affaire du chlordécone sans oublier la « justice »…
1 et 2, en rappel :
1/ https://www.lemonde.fr/planete/article/2018/06/06/scandale-sanitaire-aux-antilles-qu-est-ce-que-le-chlordecone_5310485_3244.html
2/ https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/04/05/chlordecone-aux-antilles-les-juges-mettent-fin-a-leurs-investigations-sans-prononcer-de-mise-en-examen_6120714_3224.html
3/ le non-lieu prononcé ne passe pas : https://www.sudouest.fr/environnement/chlordecone-aux-antilles-les-scientifiques-alertaient-deja-sur-les-risques-de-cancer-depuis-les-annees-80-14872937.php
Il y a des personnes qui ont alerté l’opinion, mais les médias n’ont pas reporté les alertes ou les avis et je pense à M. Pierre Rabhi trop philosophe pour avoir été entendu et j’ai découvert récemment M. Claude Bourguignon qui a travaillé à l’INRA…
1/ https://www.lavoixdunord.fr/592815/article/2019-06-03/lydia-et-claude-bourguignon-en-sol-majeur
2/ https://www.youtube.com/watch?v=nQRZQVuJN1M
3/ http://www.forumphyto.fr/2014/11/19/bourguignon-agronome-specialiste-des-sols-et-a-la-derive/
Beaucoup (trop ?) de liens dans ce commentaire, mais mon courroux est trop présent pour rester « muet » sur ces sujets/ces méthodes irrationnelles… Et comme m’a dit un ami « les requins ne se mangent pas entre eux » surtout « l’Homo sapiens » politique.
requin = homme d’affaires impitoyable et sans scrupule.
« Comment protéger la nature et les peuples lorsque n’est plus pris en compte l’intérêt général, mais seulement les caprices tyranniques de ces psychopathes qui veulent rester dans le top 100 des hommes les plus riches du monde et qui veulent le contrôler ? »
Le commentaire de Pilly du 4 avril 2023 (https://www.babelio.com/auteur/Claude-Bourguignon/66386/citations)
J’ai posé la question suivante « l’affaire du chlordécone est-il un scandale pour le citoyen lambda » au chatgpt (IA) et voici la réponse que je vous livre en copier-coller pour la 1ère réponse :
« Oui, l’affaire du chlordécone peut être considérée comme un scandale pour le citoyen lambda car elle a eu un impact important sur la santé et l’environnement en Guadeloupe et en Martinique, où le pesticide a été utilisé de manière intensive pendant plus de 20 ans.
Le chlordécone est un pesticide toxique qui a été utilisé dans les plantations de bananes des Antilles françaises entre 1972 et 1993, malgré les avertissements sur sa toxicité et son impact environnemental. Le pesticide s’est infiltré dans les sols et les eaux souterraines et a contaminé les aliments, l’eau potable et les poissons, qui sont des éléments importants de l’alimentation des populations locales.
Cette contamination a conduit à une augmentation des cas de cancer de la prostate, de la vessie et des reins, ainsi que d’autres maladies liées à l’exposition au chlordécone. De plus, la pollution de l’environnement a également eu un impact négatif sur la faune et la flore locales, mettant en danger la biodiversité de la région.
Le scandale a suscité des débats sur la responsabilité de l’État français dans la gestion de cette situation et a révélé des lacunes dans la réglementation de l’utilisation des pesticides. Il a également mis en lumière les problèmes de justice sociale et environnementale auxquels sont confrontées les populations les plus vulnérables de la région.
Ainsi, pour le citoyen lambda, l’affaire du chlordécone peut être considérée comme un scandale en raison de ses conséquences dramatiques sur la santé et l’environnement, ainsi que des problèmes de responsabilité et de justice sociale qu’elle a mis en évidence. »
Ayant « régénérer » la même question / demande, voici la seconde réponse :
« Oui, l’affaire du chlordécone peut être considérée comme un scandale pour le citoyen lambda. Le chlordécone est un pesticide toxique qui a été utilisé pendant des décennies dans les plantations de bananes en Martinique et en Guadeloupe, malgré les avertissements de scientifiques et les préoccupations des habitants.
Au fil du temps, le chlordécone a contaminé les sols, les cours d’eau et les denrées alimentaires, entraînant une exposition chronique de la population à cette substance toxique. Les études ont montré que l’exposition au chlordécone est liée à des effets néfastes sur la santé, notamment des risques accrus de cancer de la prostate, de maladies neurodégénératives et de troubles de la reproduction.
Le scandale est d’autant plus grand que les autorités ont tardé à prendre des mesures pour protéger la population, malgré les preuves croissantes de la toxicité du chlordécone. Les victimes se sont souvent senties abandonnées et n’ont pas reçu de compensation adéquate pour les préjudices subis. Cela a créé une grande colère et une frustration parmi les populations touchées.
En somme, l’affaire du chlordécone est considérée comme un scandale pour le citoyen lambda car elle soulève des questions sur la responsabilité des autorités dans la protection de la santé publique et la défense des intérêts des populations les plus vulnérables. »
Et la « Justice » a prononcé un non-lieu comme si tout allait bien même pour les victimes…Chaque lecteur se fera sa propre « vérité » et n’oubliera pas les mensonges et chausse-trappes de l’oligarchie…
chausse-trappe = piège insidieux ; ruse, embûche.
J’ai posé la question suivante au chatgpt (IA) : « L’affaire du chlordécone traitée depuis plus de 20 ans par les gouvernements successifs tant dans les décisions prises et les jugements rendus par les tribunaux sont ils conformes à la morale humaine ? Si oui pourquoi ? Si non pourquoi ? » et voici la réponse que je vous livre en copier-coller :
« La question de la conformité morale des actions des gouvernements et des tribunaux concernant l’affaire du chlordécone est complexe et sujette à débat. Cependant, voici quelques éléments à prendre en considération pour répondre à cette question :
Le chlordécone est un pesticide qui a été utilisé massivement en Guadeloupe et en Martinique pendant des décennies, malgré les avertissements de scientifiques sur ses effets nocifs pour la santé humaine et l’environnement.
Les gouvernements successifs ont été critiqués pour avoir tardé à interdire le chlordécone, malgré les preuves de sa toxicité. Les autorités ont également été accusées de ne pas avoir pris les mesures nécessaires pour protéger la population et l’environnement des effets néfastes du pesticide.
Les tribunaux ont rendu des décisions dans des affaires liées au chlordécone, mais certaines de ces décisions ont été critiquées pour leur clémence envers les entreprises responsables de la contamination. Certaines victimes du pesticide et leurs familles ont également été déçues par le montant des compensations accordées.
Enfin, il convient de noter que la question de la conformité morale des actions des gouvernements et des tribunaux ne dépend pas seulement de la légalité des décisions prises. La morale humaine peut être influencée par des considérations éthiques telles que la responsabilité, la justice, l’empathie et la compassion. À cet égard, il est possible que certaines personnes considèrent que les actions des gouvernements et des tribunaux n’ont pas été suffisamment moralement responsables ou justes dans cette affaire.
En conclusion, la question de savoir si les actions des gouvernements et des tribunaux dans l’affaire du chlordécone sont conformes à la morale humaine est complexe et sujet à débat. Il est possible que certaines personnes considèrent que ces actions n’ont pas été suffisamment moralement responsables ou justes dans cette affaire, mais cela dépend des considérations éthiques individuelles. »
Je ne reviendrai sur le chlordécone que s’il y a des nouveaux faits et je ferme ce commentaire par ce lien :
https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/affaire-de-la-chlordecone-enquete-sur-les-archives-disparues-5541302
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