Quelle bande de tarés !
Commander quinze TGV Euroduplex pour rouler sur des lignes classiques « Intercités » (Bordeaux-Marseille et Montpellier-Perpignan)…
Des « solutions » comme ça, ils en ont beaucoup ?
Oui, c’est comme cela que la France est « gérée » au quotidien, y compris dans des dossiers plus ordinaires qu’Alstom-Belfort, moins visibles.
Incurie, cynisme, bêtise et inégalités à outrance.
Pendant ce temps, d’autres emplois, moins « privilégiés », disparaissent.
Pendant ce temps, des « patrons » peuvent se frotter les mains, le chantage a un bel avenir devant lui.
Comment pouvez-vous avoir la moindre confiance en des individus comme ceux-là ? Impossible !
Pendant ce temps, à Sotteville-lès-Rouen (76) (vidéo YouTube), des centaines de locomotives, dont beaucoup en état de marche, sont « abandonnées » dans une sorte de cimetière.
Et qui n’en a pas vu, à l’écart, sur des voies de garage, lors d’un voyage sur des lignes plus ou moins secondaires ?
Et le « gouvernement » ne l’ignore pas, voyez donc ce courrier du 21/09/2015, de Ségolène ROYAL (ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie) et d’Alain VIDALIES (secrétaire d’État chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche) au patron de la SNCF, Guillaume PEPY, au sujet de motrices « SNCF Mobilité » à l’abandon :
La France, quel pays de dingues !
© PF/Grinçant.com (2016)
J’en parlais dans un billet précédent :
Sur l’étal du boucher, au tour d’Alstom Belfort
Et dire que cette triste pantalonnade a lieu seulement quelques jours après la diffusion d’Envoyé spécial (France 2), le 29/09/2016, dont la première partie avait pour titre “SNCF : quand la sécurité déraille. Gros plan sur la sécurité du réseau ferroviaire”.
Petit extrait de citation — et de circonstance — sur les voies dites « obsolètes » :
Il y a carrément des clients/usagers en danger, mais il n’y aurait pas d’argent pour remettre ce réseau en état, ou alors c’est fait ponctuellement et en catastrophe…
Et pour faire bonne mesure, deux captures d’écran, pour mieux comprendre la triste et cynique situation :
Et c’était juste avant de nous parler des « trains fantômes » (deshuntages des X73500)…
Ça nous fait un million d’euros l’emploi soi-disant « sauvé »…
Et pour combien de temps ?
Pour les payer, on va saigner des gens qui n’en peuvent déjà plus.
Si j’étais salarié d’Alstom, j’éviterais de pavoiser sur ce coup, car ça n’est vraiment pas glorieux, et c’est même de la pure prédation.
Cette « solidarité » là n’est pas recevable, au-delà de la pure instrumentalisation.
Ajout d’un addenda pour une mise en perspective avec un sujet récent d’Envoyé spécial (FR2) : “SNCF : quand la sécurité déraille. Gros plan sur la sécurité du réseau ferroviaire”
Du coup, ça n’est plus vraiment une « Brève », mais ça n’est pas grave, je laisse en l’état, car c’était l’idée initiale ;-)
Ceux qui vont faire rouler des TGV au ralenti sont les mêmes qui conduisent des Porsche Cayenne, Ferrari sur les nationales.
Quand l’inutile rejoint le non-sens.
Cadeau : un tract Sud Rail sur les graves problèmes de deshuntage des X73500 dont il était aussi question dans le sujet d’Envoyé spécial de samedi dernier. Même les cheminots ont les chocottes alors qu’on les fait rouler par deux (accouplés, les trains, pas les cheminots : oui, là ou un seul train suffisait) pour tenter de réduire ces « disparitions » et cacher la misère/les dangers…
Ça commence ainsi :
PS : « Les engins ont été développés dans le cadre d’une coopération entre la SNCF, DB et De Dietrich Ferroviaire en France et Linke-Hofmann-Busch en Allemagne, deux firmes qui ont été rachetées par Alstom. » (Wikipédia)
Nota : Autorails mono caisses, surnommées A TER, Baleines bleues, Concombres, Suppos ou Saucisses. Bref, avec Alstom, on en prend plein le cul, et pas des bricoles ;-/
J’ai vu aussi le chantage aux conducteurs s’ils acceptaient de conduire ces 73500 dans le cadre de leur demande de mutation.
Ce problème est autrement plus urgent et important que de mettre des TGV à 140-160 km/h sur des lignes Intercités (celles-là — Bordeaux-Marseille et Montpellier-Perpignan — doivent être en bon état d’ailleurs, car sur d’autres on roule parfois à 10 km/h sur certains tronçons).
Il aurait été préférable de distribuer directement ces millions aux salariés de cette usine. Avec un million et quelques euros chacun, bien gérés…
Mais vaut mieux renflouer Alstom et engraisser les actionnaires, et continuer à faire travailler les gens pour leur bouchée de pain.
Les assistés ne sont vraiment pas ceux que l’on veut nous faire croire. Mais bien ceux qui s’autonomment « élites ».
Comme vous le dites si bien, prédation… et asservissement…
1,2 million par salarié pour sauver ces emplois, alors qu’eux n’en toucheront qu’environ 20 000 par an.
Il faudrait surtout pas les enrichir ces pauvres, il vaut mieux les ponctionner avec les factures rétroactives EDF.
1,2 M€ par salarié (pour 2 à 4 ans max), ça représente 187 ans de RSA-Socle pour un « assisté ».
« Et moi, et moi et moi » (Jacques Dutronc, 1966)
Pourraient dire tous les chômeurs et les salariés sur le fil du rasoir…
Et Guillaume PEPY, le patron de la SNCF, avec toutes les couleuvres qu’il avale, pourquoi il ne démissionne pas ?
Par peur de finir au RSA ?
Par manque de couilles, et surtout d’honneur !
Ou par mépris et j’m’en-foutisme, la gamelle est trop bonne.
Eh oui, la gamelle à son chien-chien.
Trouvé sur le site de la SNCF :
De la branlette.
J’en retiens que c’est épique, et que c’est de la comédie française ;-)
Il n’y a aucune stratégie, ça n’est que gribouille, carambouille et carabistouille. Et on se demande bien où passent les milliards.
En plus, ces gens mettent en danger la vie d’autrui. Le reportage présenté par Élise Lucet était édifiant sur ce point.
Elle est où la SNCF de l’innovation et des records de vitesse (avec Alstom précisément) ? Voyez ce que c’est devenu !
Et dire que j’ai connu cette époque :-/
Et le fret ferroviaire, il en est où ?
Rappelez-vous Chapelle Darblay (papeterie), si chère à notre conseiller constitutionnel. Il a été calculé qu’envoyer les ouvriers et leur famille au Club Med jusqu’à leur retraite aurait coûté moins que le sauvetage qui a conduit aux faillites successives.
Nous sommes bien dans un monde « piloté » par des tarés :-/
Pour l’équipe de bras cassés aux manettes, apparement le million d’euros est le prix commun pour un emploi sauvegardé. Le CICE donne le même résultat :
les-crises.fr/ cice-un-million-deuros-de-subvention-par-emploi/Le CICE : peu d’emplois et pas d’investissement (LeParisien.fr, le 29/09/2016)
Sauf que le CICE sauve encore moins d’emplois que la bidouille Alstom.
Les entreprises qui arrivent à en bénéficier se mettent, pour la plupart, directement l’argent dans les fouilles par diverses astuces.
Il est même fort probable qu’Asltom bénéficie massivement du CICE.
Encore un truc de politiques débiles/mafieux.
PS : Veuillez m’excuser, mais je remplace votre lien « les-crise.fr », par le lien d’origine/source du journal Le Parisien puisqu’il s’agit tout simplement d’une reprise (en copier-coller) d’un article du Parisien.fr. Rendons à César ce qui est à César.
Olivier Berruyer a beau sourcer sur ce coup, ses pratiques sont déloyales et malhonnêtes, car il s’écarte, et de loin, de la simple « citation », et je doute qu’il ait obtenu l’accord des auteurs/éditeurs, d’autant que leurs articles ont tendance a devenir « payants » ; sa démarche est donc parasite et nuisible, en plus d’être du vrai « plagiat », ce que certains qualifieraient de contrefaçon.
Facile de récupérer des lecteurs (et quelques commentaires), avec des pratiques aussi dégueulasses.
Non, sur ce coup, ça n’est pas Les-Crises qui informe, mais Le Parisien !!!
À sa façon, Berruyer détruit ce qu’il reste d’Internet, et nous n’avons vraiment pas besoin de ça, surtout en ce moment : Terroristes législatifs bien français et Liberté d’Expression. Ça, c’est « original », et… vraiment de moi !;-)
En plus, j’ajoute que sur la page concernée (de Les-Crises.fr) de ce qui est aussi du détournement de trafic, mon fidèle Ghostery détecte pas moins de 7 « mouchards » :-/
Veillez m’excuser, lechauve, mais nous avions déjà parlé de ces mauvaises pratiques le 22 novembre 2015.
J’espère que vous ne « pompez » pas ailleurs les commentaires que vous postez ici ;-)
En tout cas, merci de “contribuer” (vraiment), car ça se fait de plus en plus rare pour de multiples raisons, dont celle dont nous parlons à cet instant.
Aucun problème cher Grinçant. Vous pouvez même supprimer mon lien plutôt que le biffer.
Il est vrai que c’est plus que malhonnête de revendiquer un article copié ailleurs, je suis de votre avis. En creusant j’aurais pu trouver l’article et certainement le lien originel. Toutes mes excuses.
Quant à mes commentaires, ils sont bien de moi, nullement et en aucun cas pompés ailleurs.
Merci de me comprendre :-)
Je vous charriais concernant vos commentaires, je sais bien qu’ils sont de vous, et je vous en remercie ;-)
Concernant Les-Crises.fr, facile de tenir/remplir un blog/un site de cette manière lamentable.
En plus, cela créée ce que l’on appelle du « contenu dupliqué » (duplicate content), ce qui peut (énormément) nuire au site d’origine au niveau référencement, voire de la notoriété/crédibilité, ce qui est un comble.
D’ailleurs, à cet instant, il y a 17 commentaires sur l’article original, sur leparisien.fr, et 23 sur son « plagiat » (il s’agit bien de cela, puisqu’une citation a des règles bien précises, notamment quant à la longueur) sur les-crises.fr… En outre, dans des recherches Google, il apparait dans des positions (souvent en première page) qu’il usurpe carrément par un « référencement optimisé », bien devant les sites originaux/légitimes. Cela illustre bien le côté « parasite ».
PS : Je laisse le lien biffé (avec un espace au milieu pour le casser) dans votre contribution, puisque c’était bien votre intention d’origine (pas malveillante de votre part, bien au contraire, car vous avez été « abusé »).
Quand il n’y aura plus d’auteurs/d’articles originaux à pomper, il fera quoi le Berruyer et son « équipe »* ?
Alors certes, il vous dira que son site est en « Creative Commons » (CC BY-NC-ND 3.0 FR), mais c’est presque pire, puisqu’il passe (enfin presque) sous cette licence du contenu qui n’est pas le sien et qui est normalement protégé !
En plus, imaginez quand même la démarche/le boulot, à « intégrer » sur son propre site le contenu des autres, illustrations comprises en les récupérant localement en prime… Bref, c’est dégueulasse !:-/
En plus, ce Monsieur sait parfaitement ce qu’il fait, puisqu’il est « actuaire » de profession, avec maintenant (enfin bon, ça n’est pas récent) une spécialisation « usurpation & contrefaçon »…:-P
Et il y a sa photo à côté de chaque article (même pompé), en sidebar, histoire d’en rajouter et de mieux abuser ses lecteurs.
*En prime, il sollicite même des « dons » (frontière avec le « commercial » ?) en bas de son édito…
« Nous finançons aussi des stagiaires » ou « Nous exploitons aussi des stagiaires » ?
Ils apprennent le pillage, la duplication et l’usurpation ?
Allez, je continue à décrypter, et donc à expliquer pourquoi cela me fout en colère…
C’est une reprise intégral d’un article LeParisien.fr par Les-Crises.fr…
MAIS, EN PLUS…
Titre d’origine (LeParisien.fr) :
« Le CICE : peu d’emplois et pas d’investissement »
Titre de la copie/plagiat (Les-Crises.fr) :
« Le bilan du CICE : un million d’euros de subvention par emploi sauvegardé »
Curieux, non, de reprendre un article en en changeant le titre ?
Titre-URL de l’article sur LeParisien.fr :
/le-cice-peu-d-emplois-et-pas-d-investissement-29-09-2016-6159687
Titre-URL de la copie/plagiat sur Les-Crises.fr :
/cice-un-million-deuros-de-subvention-par-emploi
Ce qui permet d’être plus pertinent dans les moteurs de recherche pour le plagiat, sur des recherches plus « courues », avec les mots CICE, SUBVENTION, EMPLOI, en complément de la balise « Title » précédente…
Habile et vicieux, pour un même contenu… pompé !
Il y a donc bien un vrai « travail »* pour s’approprier le contenu d’un autre, et le « griller » avec des méthodes opportunistes et parasites de SEO.
Et ça marche, puisque Les-Crises.fr se positionne très bien sur des requêtes « CICE », et que l’article d’origine n’apparaît même pas dans les résultats !
Bref, c’est parfaitement malhonnête, et cela contribue à la « crise » des acteurs sincères et honnêtes du Net, et il en reste peu :-/
*Léger, le travail, au regard de ce que c’est que de rédiger, publier et promouvoir un article « original ».
Pépère est en campagne électorale. Donc tout est bon pour se faire réélire (enfin, c’est ce qu’il croit, quand il va finir éliminé au premier tour et derrière Melanchon, il fera moins le malin).
Sur le fond, c’est vraiment du gaspillage. Surtout que les gens n’étaient même pas licenciés, mais mutés en Alsace (soit à 100 km de Belfort). Le contribuable va commander des locos dont personne n’a besoin et dans 3-4 ans le site de Belfort fermera, mais là, il n’y aura pas de campagne électorale, donc tout le monde s’en foutra. Enfin, bravo pour le PDG d’Alstom. Il a bien joué pour avoir des commandes payées, j’en suis sûr, au prix fort.
Rénover les rails, ça n’est pas visible, et donc électoralement pas payant. Donc, on laisse les infrastructures s’écrouler, et on aura des trains capables de rouler à 300 km/h, mais roulant à 50, car ils roulent sur des voies datant d’avant la Seconde Guerre !!!
Le pire, c’est que notre prochain président sera hélas pas meilleur. Sarkozy a déjà été président en 2007-2012 et Juppé a déjà été premier ministre, et à part étouffer les affaires judiciaires de ses copains et augmenter les impôts (+2% TVA et création du RDS), il n’a pas fait grand-chose.
De toutes les manières, même combat, tous ces traitres.
Sarkozy avait (déjà) « sauvé » Alstom en 2015.
Montebourg, Macron sont allés fanfaronner sur les lignes de fabrication, notamment à La Rochelle/Aytré (17).
Cette entreprise a été sabotée, et bradée/vendue à la découpe.
3,2 milliards d’euros fin 2015 !!!*
Et il n’y aurait pas collusion politico-financière pour détruire ce qu’il reste de notre « industrie » ???
Bande d’enfoirés !
*Alstom, ce serait 31 000 salariés (monde), ce qui représente, rien pour les « actionnaires », l’équivalent de 103 225 €/salarié ! En France seule, les effectifs seraient de 18 000 salariés, cette somme monte donc à l’équivalent de 177 777 €/salarié…
PS : Je constate que cet article de Challenges, paru ce matin à 7h24, a… zéro réaction !:-/
Sacré signe (détestable) des temps !
C’est ce que je disais le 4 octobre ici même. Il faut une solution qui pérennise la rémunération des actionnaires. Les emplois sont juste un alibi, et servent la propagande électorale.
Les « actionnaires » veulent tout siphonner, y compris au-delà de ce qui est disponible, d’où, notamment, les émissions de fausses monnaies (dollar US, yen, euro, livre), par les banques « centrales » qui jouent un jeu scabreux.
Le risque nucléaire est là, et ceux qui siphonnent sont « protégés » (notamment par leurs complices politiques), sauf à appliquer de bonnes vieilles méthodes, comme celles de 1789 ;-)
PS : Sur l’article de Challenges, il y a toujours ZÉRO réaction. J’avoue que je ne comprends pas :-/
Les dépeceurs et consorts peuvent bien continuer, ils ont comme un blanc-seing !
Les complices sont aussi les bénéficiaires. Aucun doute là-dessus. Une recovery, ça s’engraisse, même artificiellement.
Le délit d’initiés n’est pas actable pour tous.
Quant à 1789, ils sont bien conscients du risque, à vouloir contrôler et censurer internet, dommage, je ne retrouve plus les liens en rapport avec votre article « terrorisme législatif ».
Déjà, j’ai ajouté l’hyperlien dans votre commentaire vers l’article que vous évoquez ;-)
Vous noterez que le « délit d’initié(e)(s) » n’existe plus, puisqu’il est maintenant quotidien et à très grande échelle, pour des sommes colossales.
Et quand ils veulent « transformer » leurs monnaies de singe, là, ils vont vous/nous taper/voler, quitte à tondre un œuf (et ils y arrivent, c’est le comble).
Là, ils verrouillent tout pour organiser la razzia sur les comptes bancaires, et sur les assurances-vie.
Bref, tout est devenu factice, sauf pour un quotidien de plus en plus difficile pour une immense majorité de gens.
C’est la raison pour laquelle cette passivité/atonie m’étonne et m’inquiète énormément.
Je pose une question à un expert maintenant.
Dois-je placer mes économies au Luxembourg, Pays qui me rémunère et où j’ai depuis 30 ans un compte bancaire ?
Investissez donc dans des actions Alstom ;-)
Changez de monnaie, soyez propriétaire de votre toit, ayez un petit jardin avec des poules, et surtout un puits dans lequel vous pourrez cacher un peu d’or et d’argent (physique, pas de l’arnaque « papier »).
Si vous voulez un vrai conseil sur l’argent et le Luxembourg, demandez donc à cet enfoiré de Junker, et allez-y avec de l’alcool luxembourgeois (du Cassero-Kirsch allongé à la Vodka par exemple) pour le mettre en confiance ;-)
PS : Ce qui est sur « votre » compte « bancaire » n’est pas à vous, c’est en possession de la banque. Organisez donc un bank run, vous verrez ce qu’il en est ;-)
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